(SANITIZED)UNCLASSIFIED PUBLICATION ON TEXTILE INSTITUTE(SANITIZED)

Document Type: 
Collection: 
Document Number (FOIA) /ESDN (CREST): 
CIA-RDP80-00926A005600050001-6
Release Decision: 
RIPPUB
Original Classification: 
C
Document Page Count: 
196
Document Creation Date: 
December 27, 2016
Document Release Date: 
February 20, 2013
Sequence Number: 
1
Case Number: 
Publication Date: 
November 4, 1952
Content Type: 
REPORT
File: 
AttachmentSize
PDF icon CIA-RDP80-00926A005600050001-6.pdf10.73 MB
Body: 
Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 R 50X1 -HUM Next 4 Page(s) In Document Denied Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 STAT INSTITUT TEXTILE DE FRANCE CENTRE TECHNIQUE INDUSTRIEL (L01 DU 22 JUILLET 1948; ARRETE DU 4 MAI 1950) ENSEIGNEMENT SUPERIEUR TEXTILE (Reconnu par l'Etat. Decret du 7 aoirt 1950) 59, RUE DE LA FAISANDERIE PARIS (XVI9 TEL. : COPERNIC 36-40 1 9 5 1 STAT Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Avril 1951. Cette notice est consacree a l'Enseignement Superieur de la Technique Textile, donne par l'INSTITUT TEXTILE DE FRANCE depuis le mois d'octobre 1948. Cet enseignement a ete agree par la Direction de l'Enseigne- ment Technique au Ministere de l'economie Nationale. II a ete mis au point grace au concours d'une Commission de l'Enseignement, dont la composition est actuellement la suivante : M. le Professeur F. MA1LLARD, Pr?dent, Ancien eleve de recole Polytechnique, Professeur au Conservatoire National des Arts et M?ers et a Vecole Centrale des Arts et Manufactures ; M. le Professeur G. CHAMPETIER, Professeur a la Sorbonne, Directeur des etudes de l'ecole de Physique et Chimie de Paris ; M. le Professeur L. DENIVELLE, Professeur au Conservatoire National des Arts et M?ers ; M. E. BIZOT, Ancien eleve de l'ecole Polytechnique, Industriel. M. E. GENTY, Ancien neve de l'ecole Normale Superieure, Industriel, President du Comite Central de la Laine ; M. M. HANNART, Ancien neve de l'ecole Polytechnique, Industriel ; M. B. THIERRY-MIEG, Ingenieur E.C.P., Industriel; M. R. DELERIVE, Directeur de l'Institut Textile de France; M. A. MARTI, Directeur technique de l'Institut Textile de France ; Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 INSTITUT TEXTILE DE FRANCE L 'INSTITUT TEXTILE DE FRANCE , ?roe en mai 1946, sous forme d'Etablissement Professionnel, en application de l'acte dit ? Loi du 17 novembre 1943 ?, a ete transforme en Centre Technique Industriel, conformement a la Loi du 22 juillet 1948 (Arrete du 4 mai 1950). Aupres de lui siege un Commissaire du Gouvernement, et il est soumis au controle financier de 'Stat. Ly Siege de l'Institut Textile de France est situe a Paris, 59, rue de la Faisanderie (Tel. : COP. 36-40). Le but de l'Institut Textile est de provoquer et de coordonner toutes les initiatives, recherches et etudes pour assurer le progres scienti- fique et technique dans l'industrie textile. L 'Institut Textile exerce son action dans plusieurs domaines, de maniere a atteindre les buts qui lui sont assignee. En matiere de recherches, l'Institut Textile dirige et coordonne l'action des principaux Laboratoires de recherche appliquee, d'ana? lyse et de controle qui, dans les differentes regions, effectuent sur le plan collectif des travaux et etudes d'interet technique general. Ce sont : ? Les Laboratoires de Filature, Tissage et Chimie Tinctoriale du Conservatoire National des Arts et M?ers a Paris, ? Le Laboratoire Textile de la Chambre de Commerce de Roubaix, ? Le Laboratoire du Centre de Recherches de la Soierie et des Industries' Textiles de Lyon, ? Le Laboratoire du Centre de Recherches Textiles de Mulhouse, ? Le Laboratoire du Centre de Recherches Textiles de Rouen. Les travaux de recherche applique? entrepris par ces Laboratoires resultent des deliberations des Commissions Techniques de l'Institut Textile siegeant a Paris, composees des Directeurs des Laboratoires, Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 ? 4 ? des techniciens les plus averti,s de l'industrie textile? et de personna- Wes scientifiques. Grace a ses Laboratoires de recherche appliqu-'?e et a ses Com- missions techniques, l'Institut Textile constitue un important facteur de progres technique et scientifique dans l'indw,trie textile. Pour completer cette organisation, il a ete proc? a l'installation, dans l'immeuble de l'Institut Textile, de deux Laboratoires plus specialement orientes vers la recherche pure : l'un pour la phy- sique, l'autre pour la chimie. En matiere de documentation, l'Institut Textile a cree une Biblio- th?e qui rassemble, dans un cadre tres approprie, les livres et publications frangais et etrangers traitant de que...tions interessant directement ou indirectement l'industrie textile. L'Institut Textile edite un Bulletin bimestriel (1) publiant, en pre- miere partie, les comptes rendus des travaux des Laboratoires et don- nant, en deuxieme partie, une analyse des principaux articles parus dans la presse technique frangaise et etrangere, et des brevets d 'invention. En matiere de normalisation, l'Institut Textile co istitue le Bureau Officiel de Normalisation de l'industrie textile. Enfin, l'Institut Textile donne des conferences, faites par des personnalites frangaises et etrangeres sur des sujets techniques ou scientifiques generaux. Pour completer cette action ainsi resurnee, et pour atteindre l'un des buts qui lui ont ete assignes, l'Institut Textile de France a cree une Section d'Enseignement superienr. 1. Bulletin de 1' Institut Textile de France, Odite par " Les Ed1tLots de l'Industje Te? - tile " 36, rue HOW, Paris-9,. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 ? 5 ? L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR TEXTILE DE L'I. T. F. NECESSITE DUN ENSEIGNEMENT SUPERIEUR Ii existe en France des Ecoles Textiles dune excellente reputation, notamment A Roubaix, Lyon, Mulhouse et Epinal; les diplomes d'Ingenieur qu'elles delivrent sent generalement reconnus par l'Etat. II existe, d'autre part, des Institute ou Ecoles de Chimie dont les diplornes peuvent trouver des debauches interessants dans l'industrie des Fibres artificielles ou des Teinture at Apprets. Cependant, on constate que les Anciens Eleves diplomes des Grandes Ecoles, notamment des Grandes Ecoles parisiennes, s 'orien- tent rarement vers l'industrie textile ou vers les laboratoires de recherches prives ou publics, ce qui est tres regrettable car il y aurait de larges possibilites d'employer leurs capacites et de leur procurer des situations d'avenir. Cette carence a plusieurs causes : lorsque ces diplomas ont ter- mine leurs etudes de base, ils accomplissent souvent une ou deux annees de specialisation dans des Ecoles dont le niveau scientifique at technique est eleve : par exemple, l'Ecole Superieure d'Electri- cite, l'Institut Francais du Caoutchouc, mais ils ne trouvent rien de semblable pour le Textile. Certes, ils auraient la possibilite d'accom- plir une ou deux annees de perfectionnement dans les ecoles tex- tiles existantes et mentionnees plus haut, mais, en fait, ils utilisent tree rarement cette faculte, ayant probablement le sentiment qu'ils s'y trouveront dans un milieu dont la formation scientifique est moms poussee que la leur. Es craignent aussi vraisemblablement que les enseignements pratiques qui leur seront donnes no soient pas assor- ts a un enseignement theorique et scientifique d'un niveau suffisant, eu egard a leurs etudes anterieures. En effet, et c'est une autre raison, les industries modernes presen- tent un champ d'activite captivant pour les diplornes des Grandes Ecoles, mais on a trop tendance a considerer que l'industrie textile n'a pas suivi une evolutien aussi marquee que les autres. Elle attire donc beaucoup moms les jeunes gen S pourvus d'une culture scienti- fique poussee et cost cependant une erreur, car les applications Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 de la science moderne (notamment en mecanique t en chimie) sont d?, et seront encore davantage dans l'avenir, nonibreuses, impor- tantes et fructueuses dans l'industrie textile. II iaut donc retie- biliter cette industrie en en facilitant l'entr?aux meilleurs ele- ments des Grandes Ecoles ; ce recrutement peut at doit avoir les plus heureuses consequences sur le d?loppement futur de la tech- nique textile. 11 est donc ainsi apparu A l'Institut Textile qu'il srait tres utile de prevoir un Enseignement Superieur Textile specialcrnent adapte aux diplomas des Grandes Ecoles. Cet enseignement est aussi neces- saire dun autre point de vue : les Laboratoires textiles, qu'il s'agisse des Laboratoires de l'Institut Textile, des Centres I,egionaux dont il coordonne l'action, ou des entreprises privees, crit un imperieux besoin de chercheurs de haute valeur. La specie nation donnee des jeunes gens dune culture scientifique &endue les orientera vers les carrieres de recherches appliquees !ustrie textile. CONCEPTION GENERALE DEL 'ENSEIGNEMENT S .:RIEUR TEXTILE DE L 'INSTITUT TEXTILE I. ? Chaque promotion no comprend quo pet. d'eleves : dix au plus, pendant les premieres annees. Tous dip. 5mes des Gran- des Ecoles, us sont choisis sur titres. La raison es? mtielle de cette limitation reside dans le fait qua les entreprises tax; les susceptibles d'engager des elements de haute valeur no sont Tas extremement liombreuses et cru'il est preferable d'?e au-dessou.: des possibilites de placement plutot quo de courir le risque de ir pas placer les Cleves ; l'avenir dira s'il est possible d'augmerr ?r progressive- ment l'effectif des promotions. La seconde raison pr c Tient des metho- des d'enseignement qui vont etre exposees. Les eleves peuvent etre admis, soit a leur sortie les Ecoles dont ils sont diplemes, soit ulterieurement En particulier l'Institut Textile envisage favorablement d'admettre quelques Neves d? en fonction dans l'industrie textile et quo leurs employeurs da'acheraient pen- dant une armee pour suivre cet enseignement. II. ? Les etudes durent une armee scolaire. Pen lant le premier trimestre et une partie du second, les eleves recoiv it un enseigne- ment theorique et pratique donne par les Professeur., titulaires, assis- tea de Maitres de Conferences, techniciens de l'ind tstrie, qui inter- Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 ? 7 ? calent leurs expos?dans le cycle des legons des Professeurs , ces demiers gardant la direction et la responsabilite de l'ensemble du cours. Cet enseignement ne vise pas a donner aux eleves des connais- sances encyclopediques sur l'industrie textile. On s'efforce davan- tage, apres une introduction relativement breve sur la matiere en cause, de decrire completement tel proc?, telle methode, telle machine, pris a titre d'exemple. Ensuite, soit pendant leurs etudes, soit plus tard, les eleves pourront, par un travail personnel, etendre leurs connaissances a d'autres procedes, methodes ou machines, l'examen approfondi auquel se sera livre le Professeur devant leur rendre cette tache personnelle plus aisee. Enfin, on insiste sur les applications a l'industrie textile des connaissances generales scientifiques ou techniques acquises par les eleves au cours de leurs etudes anterieures, montrant ainsi corn- bien les techniques de cette industrie peuvent etre influencees par des ingenieurs pourvus dune culture scientifique elevee et indiquant aux eleves les directions dans lesquelles leurs efforts pourront s'exer- cer lorsqu'ils participeront a la vie industrielle. Dans toutes les circonstances, on veille a donner a l'ensemble de l'enseignement une haute tenue scientifique et technique. III. ? Les cours laissent aux eleves suffisamment de temps pour se livrer a des recherches ou a des travaux personnels de documen- tation, de bibliographie et pour l'execution de travaux pratiques dans les Laboratoires de l'Institut Textile, du Conservatoire National des Arts et M?ers, ainsi que pour ,1' etude appliquee des divers materiels. IV. ? Tout au debut de l'annee scolaire, les eleves visitent rapidement quelques usines textiles peu eloignees de Paris, de maniere a avoir un apergu tres general de l'industrie. Puis, au sours des deuxieme et troisieme trimestres, ils effectuent des visites detainees d'un asses grand nombre d'usines, choisies convenable- ment pour leur permettre de connaitre en detail la plupart des secteurs de l'industrie textile. Au cours de ces visites , les Profes- seurs ou les Maitres de Conferences poursuivent, leur enseignement. V. ? Enfin, une partie du troisieme trimestre est consacree aux stages en usine et a des travaux personnels : etudes, projets ou theses et aux examens de cloture. VI. ? Les eleves ayant accompli convenablement leur annee .sco- laire et satisfait aux examens, sont Diplom& de l'Institut Textile de France. Le diplome a ete reconnu par l'Etat ; il est contresigne par le Ministre de l'Education Nationale. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 ? 8 ? VII. ? Les etudes sont entierement gratuites, flans frais acces- soires pour les eleves de nationalite frangaise. Ceux-ci peuvent recevoir des bourses mensuelles de subsistance, accordees libera- lement et qui leur donnent des avantages sensiblen lent comparables a ceux octroyes par le Centre National de la Roche iche Scientifique. Toutefois, si certains eleves d? places dans l'industrie textile, et possedant les titres requis, soot detaches par leurs entreprises pour suivre les cours de l'Institut Textile, celui-ci dei nande alors aux employeurs de les remunerer. En principe , un eleve ainsi detache par une entreprise ne participe pas aux visites des usines concur- rentes. De plus, chaque promotion peut comprendre un ou deux eleves Otrangers. Ces eleves doivent presenter des titres equivalents a ceux des eleves Francais ; ils paient une scolarite et voyacient a leurs frais ; us ne peuvent pretendre au Diplome d'Ingenieur I. T. F. mais seu- lement a un certificat de scolarite. ? L'enseignement ne comporte aucune sp, ,cialisation, mais to choix des visites de certaines usines et le choix du ravail personnel de fin d'annee tiennent compte des preferences exorimees par les eleves a regard de tel ou tel secteur de l'industrie textile, CONDITIONS D'ADMISSION L'admission est prononcee apres examen des titrrs des candidats diplomes des Ecoles suivantes : Ecole Polytechnique. Ecole Normale Superieure (Sciences). Ecole Centrale des Arts et Manufactures. Ecole de Physique et Chimie de la Ville de Paris Ecole Superieure des Industries chimiques de Nancy. Ecoles Superieures de Chimie. Ecoles Nationales d'Arts et Metiers. Institut Catholique des Arts et Metiers de Lille instituts de Chimie. Institut Industriel du Nord de la France. Ecole Centrale Lyonnaise. Ecole des Hautes Etudes Industrielles de l'Unive rsite Catholique de Lille. Ecole Navale. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 ? 9 ? Les Licencies es-Sciences peuvent presentel leur candidature; il est tenu compte essentiellement des certificate dont us sont titu- laires pour accepter ou refuser leur candidature. Ii n'y a aucune limite d'age inferieure ou superieure. Les candidate doivent deposer avant le ler juillet leur demande d'admission appuyee d'un dossier dont la composition est indiquee, sur simple demande, par le Secretariat de l'Institut Textile; toutefois, les candidatures tardives pourraient etre examinees jusqu'au 15 septembre. Les demandes de bourses sont deposees en meme temps quo les candidatures. Les d6cisions concernant l'admission et les bourses ne sont pas motivees. Un reglement interieur fixe notamment les conditions dans lesquelles un eleve peut 8tre radio en cours d'annee. PLAN GENERAL DE L'ANNEE SCOLAIRE L'annee scolaire commence le 10 octobre pour se terminer le 15 juillet. TRIMESTRE Matinees deux ou trois cours dune heure par jour : au total environ 100 heures de cours dans le trimestre. Apres-midi : 2 a 3 jours par semaine travaux de laboratoire. 1 a 2 jours par semaine : travaux de bibliographie. Une journee par semaine est consacree a des visites sommaires d'usines pour initiation et orientation. TRIMESTRE A. Environ 40 jours de ce trimestre sont consacres : ? le matin, a des cours (2 ou 3 par jour, dune heure chacun) au total 80 heures environ, ? l'apres-midi, a des travaux de laboratoire et de bibliographie. B. Le reste, soit environ 6 semaines, est consacre a des visites detaillees d'usines, suivant les principes expos?plus haut. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20 : CIA-RDP80-00926A005600050001-6 ? 10 ? 3= TRIMESTRE Environ 45 jours de ce trimestre sont consacres a la fin des visites detainees d'usines et aux stages d'application. Le reste est utilise pour le travail personnel da fin d'annee et pour les examens. La direction des etudes est confiee a M le Professeur F. MA1LLARD. Les cours sont donnes au siege de l'Institut Te:,.tile de France : 59, rue de la Faisanderie, Paris (16e). PROGRAMME DES COURS Lecon introductive : La Science Moderne et l'Industrie Textile. ? ' heure. Matieres premieres textiles naturelles. ? 14 heures Professeur : M. MAILLARD, avec le concoun de Maitres de Conferences. Etude des matieres premieres naturelles compi anent pour cha- cune d'elles : - Oiioines at varietes. - - Conditions de production. - Traiiernents precedent la filature. Classement. Prophet& mecaniques, physiques et ch.rniques. ? Conditionnement. Textiles artificiels et synthetiques. ? 22 heures. Professeur : M. CHAMPETIER, avec le concou r. de Maitres de Conferences. Generalites sur les hauts polymeres naturals e synthetiques : Methodes physico-chimiques d'etudes. -- Determination des grandeurs macromeeculaires. -- Reactions de polymerisation at de polycondensation. ? Copolymerisations. ? Structure at prophet& mecaniques. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 ? 11 ? La cellulose : -- Structure et proprietes chimiques. Les protaines fibreuses : ? Structure et proprietes chimiques. Les rayonnes et fibrannes cellulosiques : ? Generalites sur le filage des rayonnes ? Rayonne cupro-ammoniacale. ? Rayonne viscose. ? Rayonne acetate. Autres derives cellulosiques filables. Rayonnes et fibrannes polyvinyliques. Les polyamides et le Nylon. Rayonnes diverses synthetiques. Rayonnes polypeptidiques : - Lanital et analogues. ? Protaides denaturees. Les fibres de verre. Filature des fibres naturelles. ? 23 heures. Professeur : M. MAILLARD, avec le concours de Maitres de Conferences. Technique des procedes de filature et etude du materiel utilise : ? Principes generaux de filature. ? Filature du coton (carde et peigne). ? Peignage de la laMe. ? Filature de la laine peignee. ? Filature de la laine cardee. ? Filature du lin. ? Filature du jute et des fibres dures. ? Corderie. = Filature et moulinage de la sole naturelle. ? Utilisation de la fibranne en filature. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20 : CIA-RDP80-00926A005600050001-6 ? 12 ? Tissage. ? 20 heures. Professeur : M. MAILLARD, avec le concours de, Maltres de Con- ferences. Principes generaux. Theorie des liages. Etude du materiel : ? Preparation. ? Tissage. Teinture, Impression et Apprets. ? 30 heures. Professeur : M. DEN1VELLE, avec le concours de Maitres de Con? ferences. Fibres textiles : ? Classification. ? Proprietes chimiques. L 'eau - Procedes depuration. Dosages hydrotim :triques. Blanchiment : ? du coton. ? du lin, de la laine, de la sole, des rap:. nnes, du Nylon. Teinture : ? Traitements preliminaires. ? Classification des matieres colorantes iu point de vue tinctorial. ? Solidites. ? Teinture de la laine et de la sole. ? Teinture du coton. ? Teinture des rayonnes. ? Teinture des tissus mixtes (2 fibre). Impression. Apprets : ? Generalites et classification. ? Apprets speciaux : mercerisage, infroi3sable. hydrofuge. Produits auxiliaires pour le textile. Matieres colorantes. ignituge, Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 ? 13 ? Bonneterie. ? 20 heures. Professeur : M. MAILLARD, avec le concours de Metres de Con- ferences. Principes de fabrication des articles a mailles. Bonneterie a mailles cueillies : ? Tricoteuses rectilignes at circulaires, Interlock. ? M?ers Jacquard, rectilignes, circulaires, Cotton. Tricot chane ? Metiers chaine rectiligne. ? M?ers Rachel. Machines de finition. Problemes economiques de l'Industrie Textile. ? 4 heures. M. CATIN, Delegue General de l'Union des Industries Textiles, Historique. Les grands marches de matieres premieres. Structure des industries textiles frangaises et etrangeres. Modernisation et equipement. Les grands courants commerciaux : ? Marche metropolitain, ? Marche colonial. ? Marche etranger. Regime douanier des matieres et produits textiles. Statistiques. Organisation administrative at professionnelle. Problemes sociaux de l'Industrie Textile. ? 6 heures, M. CHAILLE, Inspecteur General du Travail. Historique. Main-dbeuvre. Apprentissage et formation professionnelle. Securite sociale. ? Logement, Organisation administrative et syndicale. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 ? 14 ? Organisation scienfifique du travail. ? 14 heures. M. DANTY-LAFRANCE, Ingenieur E. C. P. Historique. ? La methode scientifique. Doctrines de Taylor et de Fayol. Remuneration du travail. ? Chronometrage. Organisation des ateliers. Planning. Contrale budgetaire. Prevention des accidents, Organisation administrative, commerciale, compta;)le et financiere. Physique industrielle. ? 24 heures. M. M1SSENARD, Ancien Eleve de l'Ecole PolytechiLique, Industriel, avec le concours de Maitres de Conferences. Chauffage, sechage, ventilation, aeration, condifionnement, humi- dification. Essais, Contrales, Metrologie. ? 12 heures. M. ROEHRICH, Sous-Directeur des Laborato re, de Filature et Tissage du C. N. A. M. Metrologie generale. Essais et contrOles sur matieres premieres, fils et b ssus. Essais de blanchiment et de teinture. Normalisation. ? 6 heures: M. DUVAL. Machines electriques. ? 20 heures. M. HAREL, Chef de la section d'essais a l'Ecole Superieure d'Electricite de Paris. Au total : 220 heures de cours environ et 80 de travaux pratiques. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 ? 18 ? VISITES DETAILLEES D'USINES Ces visites ont lieu, en principe, sous la direction d'un Proles- seur ou dun Maitre de Conferences. Elles donnent lieu a la redaction dun rapport ou dune etude par chaque eleve. Sont assimilees aux visites d'usines, les visites de certains Laboratoires ou de certains Centres Professionnels particulierement caracteristiques La repartition de ces visites entre les regions est otablie de la facon suivante Region parisienne. ? Un laboratoire de control? des textiles artificiels . ? Un laboratoire d'usine de produits colorants. ? La Bergerie de Rambouillet. ? Tine usine de produits auxiliaires pour l'industrie textile. Region normande. ? Un centre de reception du coton au Havre. ? Tine filature de coton. ? Tin tissage de coton. Region du Nord. ? Tine filature de lin. ? Tine Mature de lathe peignee. - Un tissage de laine. ? Une ou deux usines de teinture et apprets. Region de la Somme. ? Un rouissage-teillage de lin. ? Tine filature de chanvre et jute ? Tine corderie. Region lyonnaise. ? Tine Mature de soie. ? Tine Mature de schappe. ? Un moulinage. - Un tissage de soierie. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 ? 16 ? ? Une ou deux usines de teinture, apprets et impressions. ? Une usine de produits auxiliaires pour l'industrie textile. ? Une usine d'encollage. Alsace et Est. ? Une ou deux usihes de blanchiment, teinture, apprets et impres- sion. ? Deux usines de construction de materiel textile. Region de Troyes. ? Une ou deux usines de bonnetene. ? Une ou deux usines de construction de machines de bonneterie. Region de Castres-Mazamet. ? Un delainage. ? Une filature de laMe cardee. ? Un tissage de laine. Au total : 8 centres regionaux. Environ 50 visite& representant un total approximatif de 60 jours. Certaines variantes, telles que vis tes a l'etrarr, , ou certaines visites supplementaires, peuvent etre envisagees, suivant les neces- sites du programme d'etudes. En outre, cheque eleve accomplit deux stages d'une et quatre semaines dans des entreprises differentes, entreari1 et juin. TRAVAUX PERSONNELS DE FIN DANNEE EXAMEN Le sujet du travail personnel de fin d'annee (ProjE t, Etude ou Rap- port) est choisi par l'eleve avec l'accord du Directeur des Etudes. Un Reglement fixe les conditions des examens, les coefficients a appliquer a chaque matiere et la part a accorder aux interroga- tions subies en cours d'annee, aux rapports de visites d'usines et au travail personnel de fin d'annee. Les diplomes sont conferes sur proposition du Jury d'examen. 1M CHA1X. - 2383-4-51. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 STAT Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 L'INSTITUT TEXTILE DE FRANCE 'F 59, rue de la Faisanderie PARIS 1951 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 L'IMMEEIBLE DE L-INSTITUT TEXTILE DE FRANCE PARIS Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 L 'INSTITUT TEXTILE DE FRANCE est un Centre Technique Industrie' fonctionnant dans le cadre trace par la loi du 22 juillet 1948. Mais la creation de "'INSTITUT TEXTILE DE FRANCE est anterieure a cette loi et ses activites multi- ples se sont developpees depuis sa fondation en 1946. Son ceuvre doit interesser toute l'industrie textile fran- gaise et les Centres de Recherches regionaux qui lui sont associes permettent, notamment, d'assurer tine indispensable liaison avec les chefs des entreprises et leurs techniciens. Cette plaquette expose par quels moyens et dans quel esprit 'INSTITUT TEXTILE remplit les differen- tes missions qui lui ont ete confiees et qui, toutes, tendent au developpement technique de l'industrie textile Iran- gaise. L 'INSTITUT TEXTILE n'a aucun but lucratif. 11 desire seulement SERVIR une grande industrie frangaise que son importance classe au deuxieme rang des activites industrielles de notre Pays. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 _ INSTITUT TEXTILE DE FRANCE ent..-e Technique Inciustriei (Loi du 22 juLiet 1948; rrete du 4 mai 1950.) CONSEIL D ' ADMINISTRATIO/ P sident M. Ariste TI FON. Vu "r2 Jean Li LI ENBERGER. jLrtibrcts .. MM. Marcel tt,ANCHE'r. Paul BC 'JABOT. I tpuis George CA1LLY. ivlauricr DELA:HAY-E. 1) ken e EIAVRIN. can G. Jerome .1;FIENENBERGER. ;Mien i .FEBVRE. Andr?ElAUT. !'ttaieri ty'AILLARD. cL PEECIGOU'F. !'etrus ES.11CALJD. George VAT. Philippt ROY. Rene S 11,10N. Antoine l'UULEIVIONDE. F)1! cteur... ... M Robert L I )ttceteui ribroist sifcre de l'INSTITUT TEXTILE DE FIANCE est a Paris 69, rue de la tjaisanderie. Tel. CO 36-40 (4 lignes tlroup,:)es). C^MmU, ?0[1 ? ' Porte Vauntline uu rue de 05 cpo Autobus 0 el Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 PARIS- ARTS ET METIERS ROUBAIX LYON MULHOUSE ROUEN. -- 5 ? CENTRES REGIONAUX Laboratoires de Filature et Tissage et de Chimie Tinctoriale du Conservatoire Natio- nal des Arts et Metiers, 292, rue Saint- Martin, Paris (3e). Tel. : TUR. 64-40. MM. les Professeurs MAILLARD et DENI- VELLE. MM. ROEHRICH et RINGEISSEN. Laboratoire d'Analyses et de Recherches Industrielles des Etablissements de la Cham- bre de Commerce de Roubaix, 2, boule- vard de Beaurepaire, Roubaix (Nord). Tel. : ROUBAIX 313-25. Directeur General : M. Etienne BURLET. Directeur du Laboratoire M. Maurice VAN OVERBEKE. Centre de Recherches de la Soierie et des Industries Textiles de Lyon, 93, rue Pasteur, Lyon (Rhene). Tel. : PAR. 25-40. President : M. Georges RIVAT. Directeur : M. le Chanoine PINTE. Centre de Recherches Textiles de Mul- house, 24, quai du Foss6, Mulhouse (Haut- Rhin). T61. : MULHOUSE 35-31. President : M. Jean LICHTENBERGER. Directeur : M. Jean MEYBECK. Centre de Recherches des Industries Tex- tiles de Rouen, 2, rue du Petit-Salut, Rouen (Seine-Inf.). Tel. : ROUEN -R1 71-41. Pr?dent : M. Robert BLONDEL. Directeur : M. Abel CAILLE. Bulletin de Documentation et de Recherches de l'INSTITUT TEXTILE DE FRANCE ; publication bimestrielle. S'adresser : ? Pour les abonnements : aux Editions de l'Industrie Textile, 36, rue Ballu, Paris (9e). Tel. : TRI. 15-96 ; ? Pour les demandes de documentation : a 1 'INSTITUT TEXTILE DE FRANCE, 59, rue de la Faisanderie, Paris (16e). Tel. COP. 36-40. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 ? 7 ? LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE DANS L'INDUSTRIE TEXTILE FONDATION DE L'INSTITUT TEXTILE DE FRANCE Une action collective professionnelle, en vue de faire progresser les techniques de l'Industrie Textile, constitue l'indispensable complement des efforts deployes dans le meme but par les entreprises. Elle apparait d'autant plus necessaire que les etablissements de moyenne importance, qui forment la majeure partie de l'Industrie Textile, ne peuvent pas dis- poser des moyens necessaires pour entreprendre et mener a bien des travaux de recherche dune certaine portee. De plus, il est tres frequent que des etudes techniques necessitent prealablement des travaux d'ordre scientifique impliquant le recours a des chercheurs hautement qualifies. Enfin, il a ete constate que des etudes menees sur le plan collectif sont tres favorables aux echanges d'experiences et, par la, interessent les firmes dont l'importance permet et justifie le fonctionnement de services de recherches. C'est done l'ensemble de l'industrie qui peut et doit s'inte- resser a ces travaux. Par consequent, c'est a l' echelon professionnel, par la mise en corn- mun des moyens d'investigation et par la diffusion generale des resultats obtenus, qu'il faut entreprendre etude des grands problemes techniques. Cette conception a ete admise par tous les grands pays etrangers oa les industries textiles ont ete, comme en France, influencees par les progres recents de la science et des techniques diverses qu'elles emploient. Chaque pays a adopte, dans ce domaine, des solutions qui, tout en s'ins- pirant du meme esprit, temoignent dune certaine diversite. Souvent, c'est revolution d'institutions anciennes qui a commande la structure actuelle des organismes de recherches. Il en est de meme en France, oil des creations regionales ont precede la fondation dun organe central et ont conditionne la constitution de ce dernier. En effet, avant la deuxieme guerre mondiale, ii existait d? deux Centres de Recherche Textile : a Paris, au Conservatoire National des Arts et M?ers, en annexe des Chaires de Filature et Tissage et de Chimie Tinctoriale, et a Roubaix, au Laboratoire d'Analyses et de Recherches Industrielles des Etablissements de la Chambre de Commerce. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 ftcsCures]: "(prides successivernent : en 1941, le C de la 5dierie et des Industries Textiles a Lyon; en 1echerches Textiles de Mulhouse et. en 1945, le Centr industries Textiles de Rouen. us- ces laboratoires, s'ils sont particuliereme: .problemes touchant las industries regionales, n'ont Esation etroite. Tous peuvent s'interesser aux ques- qifferentes branches de l'Industrie Textile et cette piesente de notables avant:ages, a toujours ete cor 17P 1941, 5013 "'impulsion de l'Office Profess Textile, qui avait encourage et aide les Centres rec. panodiques avaient etc": etablis entre les Directeur lb vaient permis de constater combien les Eachanges c profitables et avaient rnontre l'utilite dune coordinar est de cette constatation quest nee Indee do Cree en 1946, sous forme d'Etablissement P. transferme, par un arrete en date du 4 mai 1950, e Industrie', conformement a is tor du 22 juillet 1948. Su. cette toi qui, du point de vue financier. permet d do rerablissement, I MISTITUT TEXTILE DE FRANCE est son trate dun Commissaire do Couvernement et d'u.[ i.e CO rlSeil d'Admini3tration associe a la Direction d. plus hautes personnalites representant les Grouperr. ld personnel technique des entreprises et des ref: de l'Easeignement Technique. sire de Recherches 1945, le Centre de de Recherches des interesses par les .nais eu une specia- .ons concernant les caracteristique, gui "ervee. noel de l'Industrie ma,ux, des contacts des Laboratoires. experiences etaient des efforts. 'INSTITUT TEXTILE DE ,.afessionnel, il a ete Centre Technique :ant les dispositions issurer la perennite rnis au double con- Controleur d'Etat. 1: INSTITUT TEXTILE les Hits professionnels, -esentants eminents Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 ?enb9IpoIrcuq aludiktwor' 1E.,INAT Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 ? 11 ? STRUCTURE GENERALE ET BUTS DE L'INSTITUT TEXTILE DE FRANCE Tenant compte de la situation ant6rieure telle qu'elle vient d'?e exposee et des avantages qu'elle presentait, notamment en ce qui con- cerne les liaisons avec les industries textiles qui sont reparties dans de nombreuses regions frangaises, 1 'INSTITUT TEXTILE DE FRANCE a entrepris de coordonner Faction des Centres Regionaux, tout en laissant a ceux-ci leur autonomie. Ces Centres ont donc ate maintenus et sont administrati- vement distincts de 1 'INSTITUT TEXTILE avec lequel ils sont lies par contrats. Ces contrats stipulent qu'en 6change des subventions de fonctionnement at d'equipement allouees par FINSTITUT TEXTILE, les Laboratoires regionaux entreprendront toutes les etudes qui leur seront confiees par une Commis- sion Technique dont le fonctionnement sera expos?lus loin. Cette Commission prend ensuite connaissance des resultats des tra- vaux, en discute les conclusions et decide l'insertion au Bulletin de l'Ins- titut Textile, ce qui permet a toutes les entreprises eta tous les techniciens de connaitre l'ensemble de l'activite des Laboratoires dans le domaine de la Recherche Technique. Independamment de ce role de coordination et de direction qui lui a ete devolu, l'avsTiTuT TEXTILE s'est vu confier d'autres 'Caches qui lui sont propres et qui consistent a organiser et a faire fonctionner a. son siege de Paris : ? des Services de Documentation, ? des Laboratoires de Recherches, ? des Services techniques consacres au Materiel et a la Normalisa- tion, des Conferences, ? et ennn une importante Section d'Enseignement Superieur. D'autre part, il est charge d'etablir des liaisons suivies avec les Organismes frangais et etrangers de Recherche et de Documentation, dont l'activite pout interesser directement ou indirectement l'Industrie Textile Frangaise. II convient maintenant d'examiner comment l'INSTITUT TEXTILE DE FRANCE a resolu les problemes qui lui ant ete confies. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 12 ? COORDINATION GENERALE DES r RAVAUX TOE RECHERCHE TECHNIQL E 20MMISSIONS TECHNIQUE Ainsi que cela a d? eta dit, l'organe de dire( technique est une Commission Technique Pleniere. son Pr?dent, M. Georges RIVAT, et de son Vice-Pr seur Frederic MAILLARD, une cinquantaine de mer :xi note tout specialement les Directeurs des different tralises, qui se trouvent ainsi etroitement associes gramme dont us auront ensuite a assurer l'execution. prend aussi des representants techniques des cliff l'industrie textile et des personnalites scientifiques ( ,:oncours etait particulierement utile. Aupres de la Commission Technique Pleniere ,6,clairer ses decisions, un certain nombre de Com groupant plus de 250 personnes : savants, technicie Les Commissions specialisees permanentes sont - Commission des Fibres Artificielles et Synthe M. le Professeur MEYBECK. --- Commission des Fibres Naturelles (Producti del). Pr?dent : M. le Professeur MAILLARD. Commission de la Manutention. ? Pr?dent Les Commissions d'etudes, creees cheque fois presente , ont un objectif restreint et bien determine en principe , limitee a la duree des etudes qui leu A titre indicatif, les Commissions d 'etudes fonc. :;ont les suivantes : Essais de saudite des teintures. Laize des tissus. Encollage et ensimage. - Ensimage pour lathe peignee. Materiel de filature de lathe. ---- Materiel de filature de coton. Materiel de filature de gen8t. ? Materiel de rindustrie du jute. ? Materiel de tissage. ? Qualite des files de coton. Technologie du chanvre. :on de la recherche Ole reunit autour de ?sident, M. le Profes- bres parmi lesquels Laboratoires decen- 'elaboration du pro- La Commission com- rentes branches de u techniques dont le fonctionnent, pour ?lissions specialisees industriels. iu nombre de trois : iques. ? Pr?dent : Utilisation, Mate- M. Georges RIVAT. que le besoin s'en :t leur existence est, sont confiees. ?onnant actuellement Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 ? 13 ? Les Commissions d'etudes du Materiel tiennent, aussi souvent qu'il est necessaire, des reunions communes avec la Commission des Fibres Naturelles. La Commission Technique Pleniere et les Commissions permanentes siegent regulierement tous les deux mois. La cadence des reunions des Commissions d'etudes est fixee par 1' Lir- gence des problemes a traitor. L 'initiative des etudes a proposer peut etre prise, soit par des mem- bres des diverses Commissions de I:INSTITUT TEXTILE DE FRANCE, soit par des Groupements professionnels, soit memo par des entreprises agissant isolement ; mais la decision relative a l'opportunite des etudes a entre- Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 prendre revient a Is Commission Technique Plenier rhissions specialisees; seuls peuvent etre retenus 1E: on caractere suffisamrnent general. Is Commission Technique Pleniere, egaiemer rliori do ta poursuite a Fechelle industrielle, de cer- ioatoire et de la diffusion des resultats acquis, par sont les Laboratoires decentralises qui assi. icavaux de recherche : A Paris, au Conservatoire National des A MM. too Professeurs MA1LLARD et DENIVELLE MM. ROEHRICH et RINGEISSEN. , sur avis des Corn- : trAvaux presentant appartient la deci- :sins essais de lab?. organe du Bulletin. ent l'execution des ts et M?ers, avec et leurs adjoints, A. Roubaix, avec MM. BURLET et VAN OVER EKE. A Lyon, aver M.. le e;hanoine PINTE. A Mulhouse, avec MM. les Professeurs ,ICHTENBER.GER et .VIEYBEICK. Rouen, avec M. le Professeur CAILLE. t.:iaS do necessiie, des etudes en usines sont e treprises a Lechelle .odustrielle, avec toutes les garanties presentees pi: les experts qui les ontrolent. )0CUMENTATION It function de documentation de i 'INSTITUT TEXTILE :rrnce a une Bibliotheque, a Feclition dun Bulletin e duction et de reproduction. 1,:i Bibliotheque rassemble toute la litterature uque toucham de -ores ou cre loin a l'Industroe Textil dons de revues traricarses ou etrangeres. Liii possede deja plus de 3.000 documents (1: logues) et est abonnee a 140 revues, tant frangais? lu tichier, comprenant plus de 20.000 fiches, E permet a tous ceux qui viennent A la Biblioti est absolument libre ? de trouver aisement les d: besoin. Le concours competent des bibliothecam :mtierement assure, JE z'RANCE est assuree a on Service de tra- c.chnique on soienti- ainsi que les collec- 7res, rapports, cata- qu'etrangeres. - complete journelle- ique ? dont Faeces cuments dont us ont leur est d'ailleurs Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Le grand laboratoire de chimie Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 1089 ? 17 ? 1947 1948 1949 1950 Nombre de documents existant a la Sibliotheque au 1,, janvier 1951. 150 z 1948 194-9 1950 etudes, bibliographies, etc, foumies sur demande. Le Bulletin de l'Institut Textile de France, dont le premier num6ro remonte au mois de mars 1947, parait bimestriellement et est complete, chaque armee, par un Numero Special et un Index. Ii comprend trois parties : a) Comptes-rendus de travaux originaux effectues dans les labora- toires ; b) Notices analytiques sur des articles de revues frangaises et etran- geres interessant directement ou indirectement l'Industrie Textile, ana- lyses des brevets frangais et etrangers, analyses des livres et documents techniques publies en France et a l'etranger c) Documents concernant la Normalisation. Le Bulletin de l'Institut Textile est ?te par les Editions de l'Industrie Textile, 36, rue Ballu, Paris (9e), a qui l'on peut s'adresser pour souscrire les abonnements. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20 : CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 -- 18 -- L'analyse et la traduction de la presse technique ont assurees TEXTILE DE FRANCE par un Service specialise qui est de plus, ala disposi- tion des Abonnes pour leur four= la traduction d s articles en langue etrangere signales dans le Bulletin. 350 1947 1948 1949 1950 'Fra,ruchone (en nonibre de pages). in service de reproduction des documents cor plete et elargit Fac- tion de la Bibliotheque et du Bulletin, en permettant de diffuser en France et a FEtranger des articles des schernas, etc..., sou forme de microfilms OU de ehotographies. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 ? 19 ? LABORATOIRES DE RECHERCHES Alors que les Laboratoires decentralises , dont il a ete question pre- cedemment, font essentiellement de la recherche appliquee, des ana- lyses, des essais et des controles, ceux qui ont ete crees au siege merne de 1 'INSTITUT TEXTILE DE FRANCE, a Paris, sont destines a effectuer des recherches dans un domaine plus scientifique. Ces laboratoires se divisent en deux groupes : ? celui de la Physique, ? celui de la Chimie. Les Laboratoires de Physique sont dotes de moyens d'investigation tres modernes (dont un microscope electronique T.T.C.) ; deux d'entre eux sont conditionnes avec une grande precision du point de vue hygro- metrie et temperature. Ils etudient plus particulierement les relations entre la structure intime de la matiere textile et les proprietes physiques et mecaniques de celle-ci. Les Laboratoires de Chimie comprennent plusieurs sections: Recher- ches generales, Synthese , Chimie-physique, Micro-analyse ; les moyens dont ils disposent, tant en ce qui concerne les installations quo les appa- reils, ont et6 soigneusement adaptes a leurs programmes de travaux. Ceux-ci ont trait, principalement, a la mise au point de nouvelles me- thodes chimiques et physico-chimiques d 'investigation, a leur application soit a l'analyse de la matiere textile naturelle, soit ala synthese de matieres textiles artificielles ou synthetiques. Les Laboratoires de Physique et de Chimie, ayant a r6soudre des problemes en quelque sorte complementaires, sont necessairement ame- nes a travailler en liaison tres etroite. Il est a remarquer quo la situation des Laboratoires centraux de INSTITUT TEXTILE DE FRANCE favorise leurs relations avec les divers orga- nismes de recherches de la region parisienne, co qui est eminemment favorable a l'etude, a la mise au point et a l'exploitation de certaines tech- niques scientifiques particulierement delicates (microscopie electronique, rayons X, etc...). Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 J:EZVICE DU MATERIEL L:e service est sittarge de resoudre, seion ies ci.. sions, tous les problemes relatifs_aux materiels utilis, branches de l'Industrie Textile, et qui peuvent se progres a realiser, salt pour remedier a nes clefaut II est appele h Sure, le cas echeant, aes essais e II collabore avec le Service de Normalisation, p normes relatives au materiel. actives des Commis- cans les clifferentes )oser, soit en vue de cc,nstates. isme. ;I:RVICE DE NORMALISAT DN LINSTITUT TEXTILE DE FRANCE est officiellement Bu pour l'Industrie Textile; ace titre, et en accord avec de Normalisation (Al-NOR). il prepare les projets relatives aux textiles : terrmsologie, essais et centro materiel. Par l'intermediaire de l'AFNOR, il est en relat Internationale de Slandardisation (i.S.O.) ; it est rei mternationales de Normalisation pour les textiles preparer des projets de normes internationales. :ONFERENCES "Vous les deux rnois, INSTITUT TEXTILE SE FRANCF de la Bibliotheque, une conference publique sur u technique touchant Sindustrie textile. L'affluence du succ?quo remportent sea conferences, qui s noncees par des parsonnalites etrangeres. 'etablissement de -au de Normalisation Association Francaise le normes francaises articles fabriques, -1 eves l'Oraanisation esente aux reunions t peut etre appele donne, dans ia Salle , sujet scientifique ou t; auditeurs temoigne it trequemrnent pro- Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 ? 21 ? ENSEIGNEMENT SUPERIEUR TEXTILE L 'Enseignement Superieur donne par 1 'INSTITUT TEXTILE DE FRANCE differe essentiellement de celui quo dispensent les excellentes Ecoles d'Ingenieurs specialises existant anterieurement. Ii s'agit id i dun enseignement reserve aux Ingenieurs d? diplemes des grandes Ecoles (Polytechnique, Centrale, etc...) ou aux titulaires de grades universitaires scientifiques, qui desirent se specialiser en une annee d'6tude, afin de pouvoir ensuite debuter convenablement dans l'Industrie Textile. Ceci explique quo l'enseignement nest donne qua un nombre reduit d'eleves, dont l'admission est prononcee sur titres et qui suivent un pro- gramme intensif de cours, avec de tres nombreuses visites d'usines, des travaux de laboratoires et des stages dans l'industrie. Les resultats obtenus avec les deux premieres promotions, dont les eleves ant ete places sans difficulte dans l'industrie, prouvent quo la formule mise au point par 1 'INSTITUT TEXTILE comble une lacune et qu'il 6tait necessaire de faciliter aux plus brillants des Ingenieurs et des diplemes de l'Universite leur entr?dans les carrieres de l'Industrie Textile. Le dipleme delivre en fin d'etudes a ete reconnu par le Ministere de l'Education Nationale. Une notice speciale fournit tous les details pratiques sur le Cours d'Enseignement Superieur Textile et donne le programme des etudes. LIAISONS AVEC LES ORGANISMES ETRANGERS L 'INSTITUT TEXTILE IDE FRANCE a etabli avec les organismes qui, dans les pays etrangers, poursuivent des buts analogues aux siens, des relations permanentes dont l'interet s'affirme sans cease. Pour prendre les premiers contacts et pouvoir s'inspirer de l'expe- rience de nombreux pays, l'INsTiTur TEXTILE a organis6, pour les Directeurs des differentsLaboratoires et quelques techniciens, des voyages d'etudes on Suisse (1947), aux ntats-Unis (1948), en Grande-Bretagne et Irlande (1949) et en Belgique et Hollande (1950). Ces voyages ant donne lieu a des rapports ayant fait l'objet de nume- ros speciaux du Bulletin. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 22 -- ESSAIS, CONTROLES, ETUDES PART:CULIERES Les entreprises textiles qui desirent faire procedp ontroles sur des maderes ou des produits textiles, air des etudes ne presentant pas un interet general aux Laboratoires Regionaux ou au Conservatoire : Metiers qui sont qualifies pour les executer. L'INSTI n'intervient pas , en orincipe, dans cette activite des r a des essais , a des qui souhaitent obte- peuvent s 'adresser .ational des Arts et 'UT TEXTILE DE FRANCE Laboratoires. L'INSTITUT TEXTILE DE FRANCE est de for dation relativement recente. Ii n'est certainement pas arrive encore a unf- structure complete et le champ de son activite n'est pas totalement exp1,3re. C'est, en effet, une creation continue et qui dolt pouvoir beneficier des conseils et des avis de tous ceux qui sont justement conscients de rimr ortance du progres technique dans le developpement d'une grande inclustrie. Tel qu'il se presente apres quatre annees de t, avail, il parait d? digne d'interet. Cette simple plaquette n'a d'autre ambition que de pre- senter l'INSTITUT TEXTILE DE FRANCE et de perrr ettre a ses lecteurs de s'interesser davantage a son activite. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Laboratoire de physique microscope Olectronique. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Extrait de l'allocution prononcee par M. Andr?UILL NT, Secretaire d'Etat l'Industrie et au Commerce. a l'occasion de la Ceremc lie d'Inauguration de IINSTITUT TEXTILE DE FRANCE, le 14 Novembre 1950 : L.:1i le sentiment qu'il ne ? inauguration, mats bien ,le consecration des result oocabien prometteurs dune ? ueile de haute oualite, dont P!tre ;Insures qu'i.s sont dans 1. drIji pas ainould'hui lavantage dune sorte is deja tangibles et !garaisation profession- ss peuvent bonne voie. ? Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 STAT Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 BULLETIN DE L'INSTITUT TEXTILE DE FRANCE DOCUMENTATION ET RECHERCHE Droits de traduction et de repro- duction, ni'dme partielles, reserves par ?Institut Textile de France pour tous pays. Publication bimestrielle N? 28 OCTOBRE 1951 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Abonnement onnuel pour 1951 FRANCE : 2.200 F. ETRANGER : 2.450 F. aux EDITIONS de L'INDUSTRIE TEXTILE C. C. Postaux PARIS 1895-10 36, rue Ballu ? PARIS (IX?) Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 COMPAGNIE FRANOISE DES MATIERES COLORANTES 1 S. A. R. L. au capital 20.000.000 de Prance MARQUE FRANCOLOR DEPOSE Siege Social 9. Avenue Georve-V ? PARIS (8?) Usines a: OISSEL (Sint) VILLEIS St-PAUL (Oise) SAINT-DE MS (Seine) St-CLAIR-du-RHONE (Isere) Tel. Bal. 28-50 a 28-57 ? Adr, Telegraph. FRANCOLOR-PARIS ? Mafieres Coloranfes POUR TOUS EMPLOIS ET TOUTES INDUSTRIES PRODU1TS AUXILIAIRES POUR LA TEINTURE L'IMPRESSION LE BLANCHIMENT LES APPRETS Agences et Depots dans les principaux Centres IndustrieIs Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20 : CIA-RDP80-00926A005600050001-6 hi GILTEX K V V Pour tous renseignornents s'adresser PROGIL Sr: ;et. Anonyrne au Copia, de 800 000 COO Francs 10, Quaf de Serin LYON ? 77, rue de Miro, ,lesnil PARIS Ingenieurs Specialises et Laboratoires a la disposith de tOutes industries HENRY BAER BAER & Cie S. A. Ensadethenstr. 12 IAppareil a contraler limper 'meabilite des Tissus, No 2 ZURICH 4 (Suisse) APPAREILS & DISTRUMENTS DE PRECISION pour le- contrde des matieres textiles Experience de plus de 50 ens Representants. Paul Leipp, 4, ru , de Bourgogne, Lille Tel. 713-1E, Jean Peureux, i avenue du Calvaire, Remiremonf. Tel. 24 Paul W. Sufer. 4. place Croix-Pdguef, Lyon Tel. 15-23 JIZV 111. Marque d4pos4e Frock& de Fabrication at d'Utilisation brevet t SGDG APPRETS et ENCOLLAGES - DESENCOLLAGE socIETt RAPIDASE IS, rile des Comtesses SECLIN (Nord) MAISON MEYER - SANSBCEUF Tel. 131-132 GUERWILLER Hi-Rhin FRANCE CORDERIE - FICELLERIE - FILTERIE - TRESSAGE Tous articles pour usages techniques ou commerc 11 en coton, rayonne, fibranne, chanvre, in, jute, sisal, etc... en tous diar -fres et presentations. npciaRsified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20 : CIA-RDP80-00926A005600050001-6 III SAURER 4201 METIERS A TISSER SAURER Grace a leur rendernent extraordinaire et leur construction incomparable, dune conception tout a fait nouvelle, les m?ers SAURER sont grandement ap- precies dans le monde entier par les tisseurs de coton, lame, fibranne, soie, rayonne, nylon, lin, chanvre etc. Ces machines sont partout considerees comme tres modernes et hes efficaces. SOCIETE ANONYME ADOLPHE SAURER ?? ARBON (Suisse) ? fondee en 1853 Graf & Cie. Manufacture de Cardes Rapperswil Suosse Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 IV VI FR AN CE L. 34, rue de Is Vietoire, PARIS (9) ? TRU. 52-5'. REGULATEURS AUTOMATIOUES DE PREC:1SION Preaden, Debit, Nlveau, Humidlte, Temperate DETENTEURS et DEVERSEURS AUTOMOTERtS Vapeur -- Eau ? Air Comprime C az flu g1IRCF1AU1?FEURS 25anst 0? EI.PERISlia itictRENCES ST DS SUCCES dos) ja6iication tolioNtaieils) de Ifies'ate et de co ittiWe 11 M GAUBE eat& et e teilefit e4feitta ...un contrede constant de la matiere premiere a tous les stades de la fabrication. ? les etudes de nos appareils et machines sont confiees a des ingenieurs specialises et few- fabrication est realisee par one main-d'ceuvre hautement qualifiee disposant d'un equipement industriel ultra-moderne. ? Nos apparels et machines tiennent compte des normes francaises et etrangeres. Vendues dans le monde enter, nos realisations, de classe internationale, ne craignent oucune concurrence etrangere sur les plans ClUALITE, PRIX et MAIL, 411121116k. APPAREILS ET MACHINES D'ESSAIS POU LHOMME TOUS APPAREILS D'ESSAIS POUR LABORATOIRES *RECHERCHE * CONTRO LE * ENSE1GNEMENT LABORATOIRES INGENIEUPS CONSTRUCTEURS A.t.M.. MAIS N FONDEE EN 1924 TOUTE DOCUMENTATION ETRENSEI- W OMEN FRANCO SUR DEMANDE 3, BOULEVARD DE BELLEVUE DRAYER (S.-&-O., . TEL. Te DRAVEIL Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Vn SOCIETt_AILSACIENNE DE CONSTRUCTIONS MtCANIQUES MULHOUSE ( Haut-Rhin) Maison a PARIS: 32, rue Lisbonne (809 MACHINES POUR L'INDUSTRIE TEXTILE Peigneuse laine Mov. S. A. G. ApENCES A : LILLE, 16, rue Faidherbe. ROUEN, 7, rue de Fontenelle. LYON, 13, rue Grolee. EPINAL, 12, rue de la Prefecture. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 VIII PA IX & Cie BEYCOPAL 64, Rue La Boetie ? PARIS-8e ELYsees 98-80 a 83 Alcools gras sulfones et produits auxiliaires pour Lavage Debouillissage -.Ensimag(' - Teinture Degraissage - Blanchiment .4; prets, etc... ......M1401.1f11.114M11111,11..11,11111111,11..111. llll .111.111111.11111111T1.111.1 lll 1 ll nommnipinno _ 1111,111111i111111111111 irmgrnyrrnsti Peugeot Japy g Lie Usine Sous-Roches A AUD1NCOURT (Nubs) PIECES DETACKEES POUR FILATITE.E DE TCUS TEXTILES l3ROCHES pour continue et renvideurs a frotternen; lisse eta roulernent. BROCHES de banes broches. BROCHES a. lin an sec et an mourn& AILETTES en tous genres. CYLINDRES CANNELES emmanchement a carri et it Ills. ANNEAUX pour contInus A filer et it retordre. CYLINDRES DE PRESSION en fonte, acier, acier ecouvert laiton, bis. pLATES-BANDES porte collets et porte-crapaudi es pour renvideurs. PLATES-BANDES porte-anneatut: COLLETS ET CRAPAUDTNES en bronze et route FABRICATION ET TRANSFORM ITION DE LAMINAGES POUR GRANDS ETIRAGES . REPRESENTANTS : Paul ZWICKY, 140, avenue de la MAUPAS et 10 kILLARD, 32, nue de Republique, Mareq en Bareul Fontenelle :, Rouen (S.-I.). Tel : - (Nord) Tel. Lille 598-37. 373-75 Ren?LEVEl* OT, 8, rue des Rous. F. Ferkiand Gth714. 4.' r. du Drurnont, seaux, Four ales (Nord). Tel.: 74. =I a Mulhouse (H.-11.). Tel. : 33-4E4 C. HEYWANG 33, r. Ren?eynautl, i Aime PLO, a Boaafe-Castres (Tarn) Lyon (Rh& -.). Tel. : 18-94 Bur- T? : 2-51. dean. . : r.gm, llllll (1111.111 lllllllllll 1111.1111.1 llllllllllll 1111. l lllll UM/11111W llllllll 1.11101.111.1.1 lllllll Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 'TI 25anss DI f.I.PERIENCE DE REMENCES SI DE SUCCES dams jahication de tar a/voids de motesw,te et de COlitige amtik et ph' e knee exyak ...un controle constant de ?matiere premiere ei tous les stades de la fabrication. ? Les etudes de nos appareils et machines sont confiees a des ingenieurs specialises et leur fabrication ,est realisee par une main-d'ceuvre hautement qualifiee disposant d'un equipement inclustriel ultra-moderne. ? Nos appareils et machines tiennent compte des normes francaises et etranseres. Vendues dans le monde entier, nos realisations, cle classe, internationale, ne craignent- aucune concurrence etrongere sur les plans. QUALITE, PRIX et IMAM IOUS APPARERS D'ESSAIS POUR LABORATOIR ES *RECHERCHE *CONTROLE * ENSEIGNEMENT APPAREILS ET MACHINES D'ESSAIS POUR LABORATOIRES LHOMME &ARGY INGtNIEURS CONSTRUCTEURS A.E M.* MA1SON FONDEE EN 1924 TOUTE DOCUMENTATION ET RENSEW- ONEMENTS FRANCO SUR DEMANDE 3, BOULEVARD DE BELLEVUE . DRAVElL . TEL 113 DRAVEIL Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 'y Graf & Cie. Manufacture de Cardes Ra perswil Stems.e Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 IV FR ANCEL 34, rue de la Vietoire, PARIS (9.) ? TRU. 52-57 REGULATEURS AUTOMATIOUES DE PRECISION Pression Debit, Niveau, Bumidite, Temperature DETENTEURS et DEVERSEURS AUTOMOTEURS Vapeur ? Eau ? Air Comprime ? Gaz DE SURCHAUFFEURS ETUDE DE PROBLEMES SPECIAUX POUR L'INDUSTRIE TEXTILE Vannes Magnetiques - Rechauffeurs Eleetriques Automatiques de Mazout LILLE : M. Gaston MULLIEZ, Ing. ICAIVI, 7, r. A.-Merrier. T. 73792 LYON: A.T.E.C. LYONNAISE, 18, rue d'Algerte. BUR. 47-47 PRODUITS SANDOZ TELEGRAMMES S.A. AU CAPITAL DE 504.955.500 FRANCS TELEPHONES BANDOZAS-PARIS 6, RUE DE PENTHIEVRE . PARIS-8 ANJOU-I-72-40 OA: "IS Was ET PRODUITS AUXILIAIRES POUR TOUS LES EMPLOIS DANS L'INDUSTRIE TEXTILE* SEULS CONCESSIONNAIRES SANDOZ . S. A. SANDOZ POUR LA FRANCE DE BALE (SUISSE) ?MAISON FONDLE EN 1829 A- IU A IR IlD II C-CCC IFI[ 11 - 13. rue de Jemmapes, LILLE Tel. 53844 Teleg. Pointes bile lersew'orw?OW PEIGNES tour PEIGNAGES et FILATURES Herissons - Barrettes Douves - Peignes de peigneuses Peignes de rames, etc... Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20 : CIA-RDP80-00926A005600050001-6 In SAURER 4201 METIERS A TISSER SAURER Grace a leur rendement extraor linaire et leur construction incomparable dune conception tout a fait nouvel e, les m?ers SAURER sant grandeme ap- precies dans le monde entier par les Ces machines sont partout cons derees comme tres modernes et tres eft 'caces. tisseurs de coton, lame, fibrann( sole, rayonne, nylon, lin, chanvre etc - SOCIETE ANONYME ADOLPHE SAURER ? ARSON (Suisse) ? ,und6e en 1853 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 PREMIERE PARTIE ETUDES TRAVAUX DE LABORATOIRE Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 PROPRIETES COMPAREES DES POLYAMIDES n-n' - ET DES POLYAMIDES 1-fi A. CANNEPIN CHAMPETIER Ingenieur IC.P. et Professeur a in Sorbonne et A. PARisoT Ingc I.C.A. Ducteur ,i's-Scienccs Laboraloire de Chintie de TENSTITUe TEXTILE Di FRANCE Cette etude presente l'essentiel d'une communication faite an Congres de l'A.C.S. qui s'est tenu a New-York en septembre 1951. Le texte integral paraitra dans le numero de novembre du ? Journal of Polymer Science ?. Les polyamides actuellement elabores a l'echelle industrielle pea- vent etre classes en deux groupes, selon qu'ils resultent de la polycon- densation d'un o -diacide avec une o -diamine, ou de la polyconden- sation d'un o -amino-acide. La structure chimique de ces deux types de polyamides ne differe que par le sens des groupements amides dans les chaines macromoleculaires, ces groupements etant soit succes- sivement inverses (Nylon) : C ? a a Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 10 soit toujours orient& dans le meme sens (Perlon L, Rilsan) : N ? N 0 L'usage est de designer les polyamides par un groupe de deux chiffres representant le nombre d'atomes de cart lne des molecules bifanctionnelles generatrices ; ainsi ? Polyamide 7-5 ? designe un polyamide provenant de la condensation d'une diamine en CT et d'un diacide en Cr,. (I1 est evident qu'un seul chiffre suitit a caracteriser un polyamide dont la matiere de depart est in amino-ac :de). Autrement dit, ces chiffres representent le nombre d'atomes de ca -bone compris entre deux atomes d'azote successifs de la chaine lineairt du polymere. Par analogie, on nommera ? polyamide 1-n ? ces polyamides com- portant altemativement 1 et n atomes de carbon t entre les atomes d'azote. Par exemple, le motif du polyamide 1-10 sera : 1 NH ? CH2 ? NHCO ? (CH2)8 - CO I ? X De tels corps ne sont (Merits que depuis peul de temps, car us ne pouvaient etre fabriques selon les methodes classic ues de polyconden- sation, la methylene-diamine etant instable a retat ibre. Jusqu'a present, on peut les obtenir, par conthnsation de formal- dehyde, soit avec des to -dinitriles [(1), (2) ], so 'L avec des Q)- dia- mides (3). Si ces polyamides ne sont pas encore entre: dans le doma.ine industriel, on ne saurait flier leur interet scientific; te. En effet. cette categorie de macromolecules constitue in premier jz ion entre les polya- mides classiques (Nylon, Perlon L, Rilsan) et les )olyamides naturels que sont les fibres proteiniques. L'etude des varia ions des proprietes des polyamides, lorsque l'on passe de la forme n'-n i la forme 1-n, peut montrer l'influence de la proximite des groupemen s ?CONH? dans une meme chaine. Les polyamides naturels peuvont etre consideres eomme des polyamides 2-2 C-substitues. Cependant, si l'on fait abstrac- tion du sens des ?CONH? et ne considere que le E atomes de carbone hydrogenes ? et non en plus les carbonyles ? on trouve une analogie de structure entre l'arrangement : - CONH?CH2?NHCO-- des polyamides 1-n et l'arrangement : ?CONH?CH?CONH? des proteines. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 11 REMARQUE AU SUJET DE LA NOMENCLATURE DES POLYAMIDES. On peut egalement envisager deux types de polyamides 1-n selon que les groupements amides ?CO?NH? sont tous orientes dans le meme sens, ou successivement inverses. Notons a ce propos qu'il serait beaucoup plus logique de designer les polyamides non par le nombre total d'atomes de carbone entrant dans la molecule des diamines, diacides ou amino-acides de depart, mais plutOt par le nombre d'atomes de carbone des chaines hydrocar- bonees se situant entre les fonctions -CONH- de la chaine du polymere, et ceci, quelle que soit l'orientation de ces fonctionp. La confrontation entre les deux classes de polyamides serait ainsi facilitee et surtout plus plausible. Par exemple, on compare habituellement le Nylon 6-6 au Perlon L, polyamide 6, qui est egalement un polyamide 6-6 si l'on prend deux motifs successifs pour avoir un nombre d'atomes comparable_ a celui du Nylon ordinaire. En adopta.nt notre point de vue, le Nylon 6-6 comporte alternativement 6 et 4 atomes de carbone entre les fonctions amides successives de la chaine, tandis que le Perlon L en montre uniformement 5. C'est done avec le Nylon 5-7, qui comporte lui aussi 5 'groupements -CH2- entre ses fonctions -CONH- successives, qu'il faut logiquement comparer le Perlon L ; c'est cc que montrent les chiffres ci-dessous concemant les points de fusion : Nom Motif Pt de fusion Perlon L -CONH- (CH2)2-CONH- (CH2) g 205 Nylon 6-6 -CONH- (CH2),NH-00- ( CH2) d 265 Polyamide 5-7 -CONH- (CH2)2-NHCO- (CH2) 5 183 Ces chiffres montrent bien que le Perlon L se compare mieux au polyamide 5-7 qu'au Nylon 6-6. La difference de point de fusion qu'on peut noter entre les deux extremes (205?C contre 183?C) pourrait etre attribuee a la difference d'orientation des groupements amides dans les deux cas. Le Perlon L, de structure chimique plus reguliere, doit fondre a une temperature superieure a celle a laquelle fond le 'polymere 5-7, cc qui se verifie. D'une fawn plus generale, ii serait possible de montrer, en corn- parant les donnees de la litterature sur l'ensemble des polyamides du type Nylon et du type Perlon L, que le systeme de nomenclature qui consiste a ne tenir compte que du nombre de groupements ?CH2? entre les fonctions amides serait plus rationnel. Si, en consequence, ii faut envisager deux 'classes de polyamides (1-n), de motifs respectifs : (a) CONH ? CH2 ? NH CO ? CH2). c'est-a-dire du type Nylon, (b) T CONH -- CH2 -- CONH c'est-adire du type Perlon L, cc sont les polyamides (1-n) du groupe (a) qui font l'objet du present article. _ (Q-12). 7 Ix 2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 12 PROPR1ETES COMPAREES DES POLYAMEDES fl-fl' ET DES 'OLYAM1DES 1-11 : Les deux categories de polyamides 1-n et n'-n. lu type Nylon pre- sentent des proprietes chimiques tres voisines : - - us se dissolvent dans les memes solvants (acide Eormique, phenols), -- sous l'action de la chaieur, ces produits fondeat avec decomposition si l'on opere en presence d'air ou meme de traces d'oxygene. C'est an comportement a la fusion que les diffi'ences les plus int& ressantes se manifestent ; plus particulierement, i.1.1cle des points de fusion en fonction de l'indice de liaisons hydrogen( montre une discor- dance tres nette entre les polyamides 1-n et les po /amides n'-n. 1?) Regle de l'indice de liaisons hydro gene. Scion cette regle, enoncee par G. CHAMPET1E et R. AEL1ON (4), 0 le point de fusion des polyamides a nombres p irs de groupements - -CH2? est une fonction lineaire de leur indice d, liaisons hydrogene normales ?. Dans le cas de polyamides comportant un norn)re impair d'atomes de carbone dans la chaine de la diamine, du diacid, on des deux, il est necessaire d'effectuer une certaine correction dans e calcul de l'indice de liaisons hydrogene de ces corps pour que la rCge soit encore appli- cable, cette correction provenant du fait que, s'il n':, a bien dans ce cas d'interactions hydrogene normales possibles qi e tons les deux - CO NH?, il faut neanmoins tenir compte d'int2.ractions hydrogene plus faibles mais non negligeables entre les _lutes groupements ?CONH?. En realite, reprenant ces travaux, nous avow: Pu montrer que la regle s'appliquait dans tons les cas, a condition de -e considerer qu'une meme serie de polymeres dont run des composants st invariable. C'est ainsi que pour les derives d'une. meme diamine (fit;. 1) ou d'un meme Fig. 1 Polyamicies, type Nylon, de la diamine en C et de : - - diides impairs (courbe a) (li,cides pairs (courbe h) Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 13 diacide (fig. 2) on obtient deux droites F? = p (Ix) correspondant cha- cune aux _composes a nombre d'atomes de carbone pair ou impair: FC 250 200 150 100 , //no (a) (b) to J - -10o / x410 / x6-10 910? ? 1 110 2-1 . . , . . . . . . 10 70 Fig. 2 Polyamides, type Nylon, du diacide en Cio et de : - diamines impaires (courbo - diamines paires (courbe 1)) 20) Cas des Polyamides I-n. Si l'on cherche a placer sur ces diagrammes les polyamides 1-n, on s'apergoit immediatement (fig. n? 2) que le point de fusion de ces corps est nettement superieur au point de fusion theorique resultant de la droite F? = co (Ix). Ce fait se verifie bien avec les polyamides n-10. Nous n'avons pu malheureusement le prouver aussi nettement dans le cas des series de polyamides n-6 et n-9, car nous ne disposions point de donnees suffisam- ment uombreuses a partir de la litterature et n'avons Pu de cc fait eta-? blir de courbes satisfaisantes. La difference entre le point de fusion reel et le point de fusion theorique du polyamide 1-10 est notablement supe- rieure aux erreurs d'experience possibles. Ii semble bien qu'il en aille de meme dans le cas des polyamides 1-6 et 1-9. Pour expliquer cette anomalie, nous avons dfi emettre differentes hypotheses, que nous allons discuter. Il est connu que le point de fusion d'un compose macromoleculaire s'eleve : Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 14 - lorsque des liaisons inter-chaines par cova.ence s'etablissent en nombre suffisant, - lorsque les interactions inter-chaines secondaire devien- nent plus nombreuses ou plus puissantes, --?lorsque l'on introduit dans les chaines micromoleculaires des cycles d'atomes du type aromatique. a) De ces trois causes d'augmentation du point de fusion, la pre- miere parait, en premiere analyse, etre la plus plausible dans le cas qui nous occupe. En effet, il est logique de supposer que le formol utilise dans la preparation de ces polyamides 1-n, rib pas son action aux seuls atomes d'hydrogene primaires des fonctior s ?CONH2 (si on utilise les diamides comme matieres de depart), rnais peut egalement reagir sur les atomes d'hydrogene des groupementE compris dans les chaines : o=c C=0 1-1.4\1 -H50 o= ; H H Cependant MAGAT et ses collaborateurs (2) obtinrent, par dosage du nombre de groupements ?CH2 NH2 formes apres hydrogenation des groupements nitriles terminaux des polyamices 1-6 et 1-10, des valeurs correspondant bien au nombre d'extremi0.s libres qu'il etait possible de calculer a partir du poids moleculaire d?rmin?ar mesure de pression osmotique et en supposant que les ..thaines moleculaires n'etaient pas liees par des ponts de covalence. In,atres arguments pea- vent militer contre l'hypothese des ponts de covalence methyleniques : ? le faible intervalle de temperature (entre 10 er: 20) dans level se produit la fusion des polyamides 1-n plaide pour une organisation monodimensionnelle des macromolecules ; ? d'autre part, des hauts polymeres bi- ou tridlmensionnels seraient beaucoup plus difficilement solubles, alors qu t les polyamides 1-6 ou 1-10 presentent des caracteres de facile m se en solution dans les phenols ou l'acide formique. Si donc 11 ne faut pas encore totalement rejeter l'hypothese de l'exis- tence de ponts methyleniques covalents, ii sernble que l'on puisse cher- cher une autre cause A l'elevation anormale du point de fusion des polyamides 1-n. b) La seconde hypothese revient a admettre l'existence d'interac- tions secondaires interchaines, analogues aux inter-ctions hydrogene ou aux forces de VAN DER WAALs. Ces dernieres tie paraissent pas jouer un rale different de celui que l'on constate dans les polyamides normaux. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 15 Tout au plus peut-on penser que la proximite des fonctions ?CONH? H20/\ ,C=0 impose une rigidite supplementaire l'edifice moleculaire et par conse- 0= (1) H-N7 quent favorise le developpement de H-N" \CH2 telles forces. - \ Nous avons donc ete amenes H-N (2)-/CHa --" C = 0 supposer qu'il puisse s'etablir entre les --.CONH? de chaines adia- /C=0 H2C\ centes des interactions hydrogene H20\ OH2 supplementaires dues a la proxi- CH 2 mite de quatre fonctions amides dans un espace restreint : En plus des interactions hydrogene normales du type 1, il pourrait s'etablir des interactions hydrogene ? a bifurcation ? du type 2, entre un atome d'hydrogene lie a l'azote et chacun des deux atomes d'oxygene de la chaine voisine. De telles interactions hydrogene ? a bifurcation ? ont d? ete suggerees dans le cas de la molecule de glycine (5). La distance entre l'atome d'hydrogene et chacun des atomes d'oxy- gene est evidemment beaucoup plus grande que dans le cas d'une inter- action hydrogene normale, et par consequent l'energie d'interaction doit etre plus faible. Cependant, multipliee le long des chaines, cette ener- gie se traduit par une augmentation de la cohesion de l'edifice moleculaire et, par consequent, par une elevation du point de fusion. Il est possible d'evaluer la distance de ces interactions hydrogene bifurques. AELION (6) a calcule, d'apres les diagrammes de rayons X du polyundecanamide, les dimensions de l'arrangement atomique cor- respondant a Fetablissement d'une liaison hydrogene. En admettant que ? ces dimensions soient les rnemes dans le cas des polyamides 1-n (cette proposition n'est pas encore prouvee, mais l'erreur susceptible de l'enta.cher ne gene en rien notre demonstration) on obtient (fig. 3-a) comme distance de l'interaction hydrogene bifurque : 3,57 A. 11 est curieux de comparer cette valeur a celle des interactions affaiblies dont CHAMPET1ER et AELION supposent l'existence dans les polyamides pair-impair ou impair-impair pour expliquer le desaccord de ces, produits avec la regle de l'indice d'interactions de l'hydrogen.e. En admettant que l'organisation atomique des ?CONH? responsables d'une telle interaction est celle de la figure 3-b, un calcul identique au precedent montre que la distance entre les atomes donneur et accep- o teur est dans ce cas de 3,52 A, donc tout a fait comparable a celle des interactions bifurques. Cependant, II doit exister deux differences essentielles entre les interactions hydrogene des polyamides 1-10 et n-10 (n impair), En pre- mier lieu dans le polyamide .1.-10, les interactions hydrogene affaiblies sont d'ordre bifurque, ce qui est d? susceptible d'engendrer un sur- croit d'energie de cohesion. En second lieu, et ceci nous parait un argu- ment serieux, alors que l'etablissement d'interactions affaiblies dans le Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 16 POLYAMICE -1-17 Fig. 3-a cas des polyamides n-10 est de caractere aleatoii lement de l'etat de perfection du parallelisme d ment d'une liaison bif argue dans un polyamide sairement celui d'une interaction hydrogene nor tion normale doit donc etre completee par tine sorte que toute l'energie possible de cohesion hydrogene est mise en jeu dans le cas des pot) dans celui des polyamides n-n' (n impair, n' pair) parallelisme parfait des chaines que la totalite en jeu. YAM/CE n-nig711:1;/- Fig. 3-b 2 et depend essentiel- :s chaines, l'etablisse- -n accompagne neces- Chaque interac- teraction bifurque, de due aux interactions amides 1-n, alors que ce n'est que pour un e cette energie entre Si l'on admet que dans le polyamide 1-10, la :noitie des interactions hvdrogene est du type normal, et l'autre moitie du type affaibli des polymeres pair-impair, le point de fusion theoriq e tie devrait etre que de 232?C environ, comme on peut le voir sur le dia zramme de la figure 2. La difference entre ce point de fusion ? theori gue ? et le point de fusion reel est de : 268?C ? 232?C = 36?C. D'autre part, si Fon admet que toutes les int -actions hydrogene du polyamide 1-10 sont normales, l'indice d'interac?n hydrogene devient double, soit 30,76. A cet indice correspond, sur la courbe des points de fusion des polyamides pair-pair, un point de fus on de 272?C, c'est-? dire superieur de : 272?C ? 268?C =-- 4?C an pc utt de fusion reel. On voit donc que dans le polyamide 1-10, les interactions hydrogene anor- males ? ? a bifurcation ? ? se comporteraient presque comme des interactions a distance normale. Une telle conclu: ion n'est pas absurde si l'on considere la structure de la figure 3-a ; on a verifie stir les Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 17 polyamides n-n' que les liaisons covalentes entre les atomes N, C, 0. de la fonction ?CONH? s'ethblissaient dans un meme plan. Ceci conduit admettre que les atomes C, 0, N de la figure 3-a sont aussi dans un seul plan et que le systeme et tributaire de forces de re,sonances dues a une structure mesomere de l'ensemble. Ces forces de resonances joue- raient alors le meme role que celles qui interessent les cycles benzeni- ques du Terylene, ce qui constituerait un facteur de cohesion supple- mentaire de l'edifice moleculaire. La nettete des spectres de diffraction des rayons X que l'on obtient a partir de ces composes avant meme qu'ils aient ete fondus et files vient corroborer ces conclusions. c) La troisieme hypothese susceptible d'?e emise pour expliquer l'elevation du point de fusion est plus delicate. La possibilite de formation de cycles a l'interieur des chaines n'est pas completement a rejeter. En efiet, on peut imaginer une structure repliee du motif ? CONH ? CH2 ? NHCO ? qui resulterait d'une simple rotation de 180? de la chaine autour des liaisons ?CH2 ? C : 0 GH2' CH6 C Hz 0=0 0=C CH 7 2 HN NH CH En admettant une enolisation de la fonction amide (7), il se pour- rait qu'au voisinage du point de fusion, l'agitation thermique puisse provoquer la reaction des deux hydroxyles avec formation d'un pont ether-oxyde qui fermerait le cycle : /CH2, 9H H /CH2\ /0-12\ \ /CH2\ ii 1\C C C - HO ii ii CH2. CH2 MOWRY et RINGWALD (1) d'une part, et MAGAT et Coll. (2) d'autre part, ont emis l'hypothese que, par fusion, il se produirait une variation de structure moleculaire qui se traduisait par une impossilDilite de filer ces composes macromoleculaires, et une tres forte diminution de leur solubilite. Ces auteurs ont suppose que ce fait s'expliquait par la crea- tion de ? cross-linkages ? sans d'ailleurs preciser la nature de ces pontages. Notre suggestion pourrait peut-etre permettre d'elucider ce phenomene. Quoi qu'il en soit, comme ces cycles ne paraissent pas exister avant fusion, on ne peut qu'imaginer une telle structure repliee des macromo- lecules, c'est-a-dire une existence problematique de pseudo-cycles, pou- vant se traduire par l'elevation du point de fusion, Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 18 CONCLUSIONS Si bien des travaux devront encore etre effects afin de permettre un choix certain entre ces trois hypOtheses, il est f.:ausible de supposer des a present que le point de fusion anormalernent leve des polyamides 1-n puisse etre chl a une structure spatiale different de celle des polya- mides n-n', en admettant l'existence dans ces c.)mposes, de forces d'interactions hydrogene d'ordre bifurque. En Fetal de la question, ces conclusions ne sauraient etre encore absolues. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 ? 19 BIBLIOGRAPHIE (1) DAVID T. MOWRY & ? J. of. Am. Chem. Soc. 1950, 72, 4439. Eugene L. RINGWALD (2) Eugene E. MAGAT, ? J. of Am. Chem. Soc. 1951, 73, 1031. Leonard B. CHANDLER, Burt F. FARIS, John E. REIM, Frank L. SALISBURY. (3) B. F. ? demand e en Janvie r 1951 par l'Institut Textile de France. (4) G. CHAmPETTER, ? Bull. Soc. Chim. 1948, 15, 683. R. AELION (5) G. A. ALBRECHT, ? T. of Am. Chem. Soc. T039, 61, 1087. R. B. COREY (6) R. AELION ? Ann. de Chimie, 1948, 3 (I2e serie), 5. (7) II. MARK, . ? Etat actuel de la Chimie et de la Phy- T. ALFREY, sicItle des molecules geante?, MASSON & R. B. MESROBIAN C? Ed. (1950) P. 244. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 20 RESUME Apres one remarque montrant qu'il serait, beaucoup plus logique de designer -les polyamides par le nombre d'atomes de carbone des chaines hydrocarbonees situees entre les fonctions CONH ? du polymere, et non, scion l'usage actuel, par le nombre total d'atomes de carbone entrant dans la composition des matie- res de depart (diamines, dia- cides, aminoacides), il est pro- cede' a on examen des proprietes des polyamides 1-n. Comparativement aux polya- mides n-n', une difference tres nette apparait en cc qui concerne les points de fusion ; dans le cas des polyamides 1-n, la regle de l'indice de liaisons hydro gene parait ne plus devoir s'appliquer. Des differentes hypotheses ernises pour expliquer cette ano- malie, particulierement interes- sante est celle admettant l'etablis- sement entre les ? CONH ? des chaines adjacentes de polya- mides 1-n, d'interactions hydro- gene supplementaires, d'ordre bifurque, qui seraient dues a la proximite de quatre fonctions amide dans un espace restreint. SUMMARY There is first a remark showing that I would be much more logical to describe polyami- des by the r imber of carbon atoms of the hydrocarbonated chains placed ,0 etween the func- tional groups (,'ONH? of the polymere and vot, as is the pre- sent practice, b the total number of carbon atom entering into the composition of the initial subs- tances (diamint s, diacids, amino- acids) ; then f 01lows a study of the properties 0 f 1-n polyamides. As compar d with the polya- mides n-n', a very distinct diffe- rence is foun,, in the melting point; as regards 1-n polyamides, the rule of the index of hydrogen bonds does no appear to apply any more. Among th, different hypo- thesis pro pose to explain this anomaly, a p rticularly interes- ting one is tha4 which admits the existence betw( -a the ?CONH? of adjacent ch ins of 1-n polya- mides, of addl ional interactions, of the fork ord r, which might be due to the co existence of four amide groups i, a limite space. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 ETUDE DU COMPORTEMENT DE LA CELLULOSE DANS LES ALCALIS OXYDATION DE LA CELLULOSE EN MILIEU CUPRI ETHYLENE DIAMINE Par J. CvRoT IngMieur Chimiste Adjoint au Directeur du Laborataire de Chimie de l'INST1TUT TEX] ILE DE FRANCE Communication faite & New-York, le 11 septembre 1951, au xir Congres International de Chimie pure et appliquee, Section 4 < Elastomeres et Plastomeres INTRODUCTION ? Cette etude fait suite a celle publiee dans le Bulletin de rINSTITUT TEXTILE DE FRANCE, n? 22, Decembre 1950. Plusieurs points restaient a etudier et a preciser, entre autres : le mecanisme de la reaction. L'oxydation de la cellulose en milieu homo gene est un probleme trop important pour qu'il soit necessaire d'insister. La plu part des mesures physiques necessitent la mise en solution du produit, la cellulose est .un produit particulierernent insoluble ?et ne se dissout on se disperse que dans un tres petit nombre de solvants, entre autres : la cupriethylerie- diamine. Il est donc tres utile de connaitre les reactions qui peuvent se produire pendant la dissolution et, une fois la cellulose en solution, c'est la reaction de degradation en presence d'oxygene qui a ete etudiee. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 23 De nombreuses recherches ont d? ete effectuees sur la disso- lution de la cellulose ; on sait tout l'interet que cette question presente, puisque la dissolution d'un compose macromoleculaire permet de deter- miner un certain nombre de ses caracteristiques physico-chimiques : notamment la mesure du degre de polymerisation determinee par les methodes usuelles, que ce soit par voie viscosimetrique, par pression osmotique ou par centrifugation, necessite la mise en solution de la cellulose ou de l'un de ses derives. Nous avons porte notre attention sur la dissolution de la cellulose dans la cupriethylene-diamine et la mesure du degre de polymerisation moyen par voie viscosimetrique. Ii est bien evident que toute mise en solution de la cellulose, non seulement detruit son ?t morphologique, mais egalement peut entrai- ner des modifications chimiques. Nous avons adrnis que les celluloses, quelles que soient leurs origines, les traitements subis, donc leur degre de degradation, se comportaient a peu pres de la meme fawn au mo- ? ment de leur dissolution et nous n'avons etudie que l'oxydation de ces celluloses une fois dissoutes. Nous avons d? etudie les reactions de la cellulose dissoute dans la cupriethylene-diamine (1) ; nous avions remarque alors, ainsi que l'avaient d? fait de nombreux auteurs, que lorsqu'on mesure la viscosite de solutions de cellulose dans la cupriethylene-diamine, imme- diatement apres dissolution et a nouveau apres un certain laps de temps, la solution etant restee en contact avec l'air, on note une nette baisse de in viscosite. Nous avions pu montrer que cette diminution de viscosite etait due a tine oxydation de la cellulose par l'oxygene de l'air, car si apres la premiere mesure on garde la solution soigneuse- rnent a l'abri de l'oxy'gene et que 300[1 l'on determine a nouveau la vis- cosite, on ne note pas d'augmen- tation de la fluidite. 2000\ 11000 ,o1, 3 3 7 ilothe ofojours Fig. 1 11 13 Nous avions Pu mettre en evidence que cette baisse de vis- cosite, qui finalement traduit une diminution du degre de polyme- risation, donc une degradation, est d'autant plus importante que le temps de contact est plus long. Nous avions constate que si l'on etablit les courbes repre- sentant la degradation (degre de polymerisation) en fonction du temps, on obtient une hyperbole equilatere (fig. 1), le degre de polymerisation etant calcule par la fo.rmule de SCHULZ : Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 24 1/01? 150 100 50 0 3 , 5 7 9 '11 13 Itembre de jaw 209 , lc .% x 'k A ? x ? Cellukse A x Cellulose B ? Ceidase C A regdosp D ? . ? afi 1% %) An no .5 7. 9 11 11 15 Ti ig /5 evoin Fig. 2 30 20 1 Fig. 3 IIIIij,Iliii / Pu III ill 2 )0 60 70 60 90 Kit , 4 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Fon=le I DP .= ?risp 1 11 -10 TISp - C (1 ? 0,25 lisp) X 11? 10= viscosite du solvant = viscosite de la solution 25 C = concentration en g/l X = constant.= 7,5 x 10-4 la viscosite du solvant et de la solution etant mesuree dans le \risco- simetre d'OswALD a rernplissage par pipette (2). Pour differentes celluloses de degres de polymerisation differents, degradees de fawn differente, on remarque que les courbes sont sensi- blement superposables si l'on utilise, toutes conditions egales par ailleurs, les memes echelles de coordonnees et si l'on effectue une translation sur ces courbes jusqu'a coincidence selon un axe parallele a l'axe des abscisses (fig. 2). Ces courbes sant sensiblement des hyperboles equilateres comme nous l'avions d? signale, la courbe de l'inverse du degre de polyme- risation en fonction du temps est en effet une droite (fig. 3). Nous avions egalement montre que la degradation est d'autant plus importante en un temps donne que la temperature est plus elevee ; en effet, si l'on compare la courbe des inverses des degres de polymerisation, on voit que leur pente est d'autant plus rapide que la temperature est plus elevee (fig. 4) . Pour faciliter cette comparaison, nous avons fait passer toutes les courbes par la meme origine. Nous avions egalement etudie, assez rapidement, quelques autres facteurs, tels que : surface de contact air/solution et nous avions Pu en deduire que, plus la surface est grande, plus la degradation est rapide ; rayons ultra-violets dont 1:influence ne semble pas etre negli- geable. Divers points cependant n'avaient pas encore ete etudies et demandaient a etre precises. INFLUENCE DE LA LUMIERE DIFFUSE. Les rayons ultra-violets ayant une influence nette et les essais etant tres longs, il etait important de determiner si la lumiere diffuse a egalement une importance. Nous avons donc mesure la diminution de viscosite de trois celluloses de linters de coton, de degre de poly- merisation initial moyen different a intervalles de temps connus. Les celluloses ont ete dissoutes dans les solutions de cupriethylene-diamine, chaque solution a ete partagee en deux parties egales et placee dans des flacons de diametres sensiblement egaux, un flacon de verre blanc et un flacon recouvert d'une peinture absolument opaque mettant la solution totalement a l'abri de la lumiere ; une certaine quantite de solvant a ete etudiee dans les memes conditions. Les flacons ont ete conserves non bouches, mais a l'abri de la poussiere, dans un ther- mostat a 250 -? 0,10, temperature plus facile a maintenir que 200, temperature que nous avions utilisee dans l'etude precedente. A cette temperature de 250, la vitesse de degradation n'est cependant que legerement plus grande qu'a 200, comme on peut le voir sur la courbe des inverses (fig. 4). Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 26 D5P 2 0 2 24 28 32 36 40 44 inindedelefu glliko 11 :01/ ,, : x .1Ill 1E11 TSP 2 d1 Fig. 5 Variation de la viscosite specitique solutions d'e.chantillons ditTerents cellulose dans la eupriethylene-diamit, A a ?/fg WY.' lin mii 3 ? /1 7 Ply dig ? X ? ? III A. ? I Wpm* de *vs enith Fig. 6 36 40 4 Variation de la viseosite specifiqtr (Pune solution d'un meme chantillon de cellulose dissous dans la eupriethylene-diamine, selon que tte solution est place a la lumiere ou a l'obscurW I Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 27 La viscosite des solutions mesuree a intervalles de temps connus a ete determinee dans chaque flacon apres agitation pour remettre en suspension toute precipitation qui aurait Pu se former et de nouveau apres centrifugation I l'abri de l'air pour etre sin- d'avoir .elimine toute suspension. Toutes les solutions ayant ete preparees a une meme concentration, on a compare les viscosites specifiques directement sans calculer le degre de polymerisation (fig. 5 et 6) ; en effet, la formule de ScHuLz permet seulement d'obtenir la viscosite intrinseque, donc le DP, en corrigeant la viscosite specifique pour la concentration. La viscosite du solvant n'a pas vane pendant toute la duree de l'essai de plus de quelques dixiemes de seconde, mais ii semble qu'elle ait une legere tendance a augmenter, cette difference n'est toutefois pas sensible sur les resultats. On voit que la lumiere diffuse est prati- quement sans action sur la degradation ainsi, du reste, que l'elimina- tion des insolubles par centrifugation. Nous n'avons recueilli qu'une quantite extremement faible de produits rouge-brun dont l'elimination n'a aucune influence sur l'analyse des solvants, avant et apres l'expe- rience ; cependant ii y a eu precipitation dans un des solvants, il est impossible d'attribuer cette precipitation a la presence de glucose comme nous l'avions prirnitivement suggere. SURFACE DE CONTACT. Nous avons repris l'etude de la surface de contact solution/ oxygene en presence d'oxygene pur afin d'accelerer le processus de l'oxydation. Nous avons etuclie, pour une quantite constante de liquide, la degradation a surface de contact variable, et, egalement, la degra- dation pour un rapport constant: quantite de solution par unite de surface de contact, les surfaces de contact etant variables. Nous avons utilise les quatre surfaces de contact suivantes : 15 cm2, 45 cm2, 100 cm2, 180 cm2, avec dans le premier cas 100 cm3 de solution a 1 g/litre et dans le deuxieme cas, 1,5 cm3 de cette meme solution par cm2 de surface. Les solutions etaient en contact avec de l'oxygene pur .1 pression constante legerement superieure a la pression atmospherique. La viscosite specifique de la solution originale etait de 2,8 soit tin. DP calcule de 2.200. Apres essais, on a trouve les resultats suivants : Duree du traitement Surface en cm2 Volume constantVolume /isP DP Surface Rapport ? constant ?tisP DP 15 h 15 2.6 ? 2.100 1.52 1.470 45 1.9 1.700 1.58 1.500 100 1.28 1.200 1.58 1.500 180 0.9 980 1.45 1.420 65 h 15 1.82 1.650 0.73 820 45 1.05 1.100 , 0.76 850 100 0.64 750 0.68 780 180 0.36 450 ? 0.64 750 3 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 28 Il est done evident que la degradation est nie fonction lineaire de la surface de contact, car les differences trot vees sont certaine- ment dues a des erreurs de mesure de la surface d contact. Les resul- tats a volume constant le montrent egalement, mai leur interpretation est plus delicate, car la degradation de la cellulos, etant une fonction hyperbolique, on volt seulement varier la vitesse de degradation qui est d'autant plus &levee que la surface est grande. DEGRADATION DE LA CELLULOSE EN FONCTION DE LA 4. ONCENTRATION. Il est important de preciser l'independance de Ia vitesse de degra- dation de la cellulose en fonction de la concentra ?on, car cette inde- pendance a des consequences theoriques important ; sur le mecanisme de la reaction (2). En effet, nous avons montre qu, la degradation est fonction du temps soit P.M. == f (t), que cette court tt est une hyperbole equilatere, done que la vitesse de rupture des el aines est constante en fonction du temps, que la degradation est fon tion de la concen- tration en oxygene (fonction de la surface par unit de volume), done que la vitesse de rupture des chaines croit en for :tion de la concen- tration en oxygene ; Si nous montrons que la degr, dation est indepen- dante de la concentration en cellulose a concen ration en oxygene constante, la vitesse de rupture des chaines croitr, en fonction de la concentration en cellulose. Dans ce cas, ne pat y avoir rupture preferentielle en bout de chaines car il y aurait tlors diminution de la concentration et la courbe P.M. = f (t) ne serait plus, dans tous les cas, une hyperbole equilatere. On peut egalement confirmer cette hypothese eia probable, etant donne la rapide diminution du DP en fonction du temps, en etudiant la diminution du DP en remplacant une partie de :a cellulose par du glucose. On peut egalement exclure la rupture a un IF preferentiel seu- lernent, si on montre que la courbe de degradatior est une hyperbole en-dessous de ce DP, mais de facon incertaine si on admet deux vitesses de rupture des chaines : une rapide a un DP preferentiel, et une plus lente en n'importe quel point de la chaine. Nous avons done fait des series de mesure sir quatre celluloses differentes a des concentrations variables : 0,75, 1, 1,25, 1,50, 1,65, 1,90 et 2 g/litre. Chaque solution de cellulose et ,nt placee toujours dans le meme -viscosimetre d'Oswald. On note l'abord, que pour chaque serie d'essais, a une meme concentration, les quatre courbes qui sont des hyperboles equilateres, se superposeni bien en effectuant la translation comme nous l'avons indique plus ha at : la degradation est done bien la mime. Dans tous ces essais, on con tate que la formule empirique de ScHutz se verifie pour ces concent rtions, puisque les degres de polymerisation initiaux sont sensiblemen les memes : Cellulose A DP : 2.200 a 2.5 JO ? : 1.400 a 1.00 ? : 950 a i.coo ? : 650 ( 30 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 2 10 J I / / / / // / , ?/? / --?7..>?,e, ,:, ,.-, iCeei /raM 1.550. 125e /190g/E LONA '12,00 /E /, _/ , / / ,. / / ,-..,. //. ...,.., / / ./ / / ./ .../ / ,./ /7/. , .,2. ,...-, ,/..,, ,/..: e .....7 7 _ .,. Vj///e temps 6, itha Fig. 7 20 29 Nous ne considerons que les courbes des inverses des DP dont la pente est une mesure de la vitesse de degradation. Ces courbes montrent que jusqu'a un DP de l'ordre de 350, ce sont sensiblement des droites, mais les pentes pour les differents essais ne sont pas toutes identiques (fig. 7) : g/litre pente 1 8,5 1,25 11,5 1,50 7,0 1,65 12,0 1,90 9,0 2,00 9,0 et 7,5 Ii n'est pas possible d'etablir -une relation entre les variations de la pente et la concentration. Comme ces essais avaient ete effectues avec differentes solutions de cupriethylene-diamine, nous avons refait une serie d'essais avec une meme solution de cupriethyleng-diamine ; nous -ne donnerons que les resultats des pentes des inverses des DP : g/litre pente 6,76 13,5 1,00 13,5 1,50 13,5 2,00 9,0 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 A part l'essai a 2 g/litre, indiquant une pente Je 9, les resultats sont bien constants, mais la vitesse de degradation est beaucoup plus grande que dans les essais precedents. Nous avorb alors pense que les differences de pente provenaient d'impuretes -ontenues dans la liqueur de cupriethylene-diamine et principalement l'impuretes conte- nues dans l'hydroxyde cuivrique. Nous avons fait d'abord quelques essais d'orien ation pour verifier si la concentration en cupriethylene-diamine de lz solution solvante avait une influence. Nous avons pu montrer que, vec un hydroxyde cuivrique hautement purifie, le degre de polymerisa demeure cons- tant quelle que soit la concentration de cupriethy ene-diamine entre les limites suivantes : 8 a 32 g pour 100 cm de s Aution (la solution utilisee pour tous les essais precedents etant de 16 g/100 ma). Avec un hydroxyde cuivrique prepare sans precaution s )eciale, le pouvoir solvant etait legerement dirninue et les solutions de concentrations inferieures a 12 % ne dissolvaient plus les cellulo es a hauts degres de polymerisation. Nous avons alors verifie l'inflUcnce des impuretes qui peuvent se trouver normalement dans l'hydroxy le cuivrique, telles que : ions SO; pouvant provenir du sulfate de cui- re, ions OW pou- vant provenir de la soude ayant servi a la precipit _Eon. Nous avons prepare un hydroxyde cuivrique le plus pur possibl , avec lequel nous avons fait une solution-mere ; nous avons alors, ette solution-mere, ajoute des quantites variables d'acide sulfurique, le soude et d'eau, de maniere a ramener la concentration en cuprie hylene-diamine au minimum a 13 %, c'est-a-dire de facon a ce qu'elle ait encore un bon pouvoir solvant. Nous avons etabli, comme precedemment, des c )urbes representant la diminution du degre de polymerisation en fonct on du temps pour deux celluloses seulement et a des concentrations differentes (0,5 et 1,5) et avons trace les courbes des inverses du Di. II est curieux de constater que dans ce cas, la concentration et les i npuretes n'ont pra- tiquement aucune influence sur les resultats, puis ;tie les pentes des courbes des inverses du DP sont toutes comprises entre 8 et 9 ; les vitesses les plus grandes etant, peut-etre, obtenues avec les additions ce soude. 11 faut egalement remarquer qu'avec la 3oude, le degre de polymerisation initial de la cellulose est toujours e plus bas : 2.200 au lieu de 2.400 dans les autres essais, et que les v tesses d'hydrolyses sont nettement plus faibles que pour les essais pre', edents. Ii restait maintenant a etuclier la vitesse ce degradation des celluloses a des degres de polymerisation moyens i Iferieurs a 350 ; le probleme est assez complexe, car la, diminution d degre de polyme- risation en fonction du temps est tres petite et si l'on se sert de solutions peu concentrees (1 a 3 g/litre) la difference de viscc ;ite entre le solvant et la solution est tres faible et les moindres errew de mesure entrai- nent des erreurs tres importantes dans les resilltats Pour tourner cette difficulte, nous avons essaye de travailler avec des solutions tres concentrees. Cependant ii fallait verifier auparava l'influence de la concentration sur la mesure du degre de polymeri ation. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20 : CIA-RDP80-00926A005600050001-6 31 On sait que la formule de SawLz est seulement une formule approchee et il a ete montre que la formule de MARTIN (3) s'appliquait bien a la cellulose aux basses concentrations : lisp Log ? Log Fri] K [q] C sp = viscosite specifique [1] = viscosite intrinseque K== constante pente des droites =----- 0,14 Nous avons donc prepare des solutions d'une cellulose a degre de 'polymerisation relativement faible (cellulose D : DP 650-680) aux concentrations de : 15, 10, 7,5, 5 et 2 g/litre. La viscosite de ces solutions a ete mesuree a l'aide de viscosimetres de BAUME rodes (4) (fig. 8). Ce type de viscosirnetre a l'avantage d'eviter tout ajustement de la partie inferieure du tube de BAUNIE ce qui est, en general, une tres importante cause d'erreur. Nous avons construit toute une serie de visco- simetres A diametres de capillaires de plus en plus grands pour que, avec toutes les solutions, nous ayons toujours un temps d'ecoulement de la solution d'en- 30cm \f viron -100 secondes. Le viscosimetre est /NOt IIS-P toujours rempli avec 20 cm3 tres exac- tement de solution et les tubes capillai- res sont etalonnes avec le plus grand soin. Nous avons etabli, avec cet appa- reil et les solutions de concentration allant jusqu'a 15 g/litre, la courbe : en fonction de C. Fig. 8 , Ces courbes sont des droites jusqu'a 15 g/litre ; nous n'avons pas poursuivi les essais pour des concentrations superieures, les solutions etant d? extremement visqueuses et difficiles a manipuler a cette concentratibn. On constate egalement que la viscosite intrinseque obtenue par extrapolation a concentration 0, est bien la meme que celle btenues aux basses concentrations (fig 9) La formule de MARTIN ne permettant pas une extrapolation A concentration 0 par un calcul simple, le seul moyen de determiner le degre de polymerisation est donc de mesurer les viscosites specifiques a deux ou trois concentrations et de les reporter sur une courbe. Comme nous ?voulions determiner si des solutions de diverses concentrations se degradent de la meme fagon, il fallait obtenir le degre de polymerisa- tion a partir d'une seule concentration si on ne voulait pas faire un nombre considerable d'essais. Nous axons donc verifie que l'on trouve le meme resultat par dilution soit avec de la cupriethylene-diamine, soit avec de l'eau. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 32 4 3 4 9 4 thfletzlidhogs 0 a 75 10 TSP 9 C8 7 6 Fig. 9 15 &MI' flP -- A BindlOn o I Pdll Xliddigfici la ofirgyk I ,---. r-- ) 1 5 ) , foncardiillis ie . 2 1 Fig. 10 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 33 Dans ces deux cas, on obtient egalement des droites ayant exacte- ment les memes pentes ; l'extrapolation a 0 donnant exactement la mettle .viscosite intrinseque (fig. 10). Une autre verification s'imposait : celle du m?nge de cellulose de degres de polymerisation moyens differents. Nous avons donc pre- pare une solution a 15 g/litre avec des linters ayant des viscosites intrinseques, par consequent des DP differents et nous avons alors nouveau fait une courbe par dilution de ce m?nge de celluloses. On constate que dans ce cas egalement, la courbe est bien tine droite, et que la pente de cette droite a bien le meme coefficient K = 0,14 environ que precedemment. On a donc le droit d'extrapoler cette droite a con- centration zero pour determiner la viscosite intrinseque et donc le DP (fig. 11). Pour calculer les DP et avoir des resultats sensiblement compara- bles a ceux olAenus par la methode de ScHw2, ii suffit de poser : DP ----- [D]. 1 7,5.10-s Nous avons alors degrade des celluloses en presence d'oxygene a intervalles de temps connus. Nous avons prepare une solution-mere de cellulose a 15 g/litre ; nous en avons dilue une partie avec de in cupri- ethylene-diamine pour l'amener a 10 g/litre et une autre partie pour l'amener a 5 g/litre. Nous avons mis ces solutions dans des recipients plats et sous atmosphere d'oxygene a pression constante, de telle fawn que le rapport : surface/cm de solution soit identique dans les deux cas, et nous avons mesure la viscosite intrinseque stir des prelevements i g 5 4 3 2 3 e 4 3 CD)=213 2 ionceni-doz el 5 10 15 20 Fig. 11 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 34 :non mi 50011Ph PP o AR am in 11 Dsp 10 12 16 18 20,22 31 26 Fig. 12 1 luu . ,4.. 8. 12 16 20 24 21 ticrs 871:210" Fig. 13 I B 7 6 5 4 3 1 3 7 3 i) 5 !.......1041,___ .....--X 1 (0/7CPths41211S e 0 2 4 6 -8 10 12 14 IC 18 20 Fig. 14 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 35 pris a intervalles de temps connus par la methode que nous venons d'exposer, c'est-a-dire par dilution, le volume de solution est tel que les prelevements ne representent qu'un pourcentage infime de la solu- tion ; nous avons ainsi obtenu des courbes parfaitement superposables et qui sont bien des hyperboles equilateres jusqu'a un DP inferieur a 200 (fig. 12, 13 et 14). Nous avons essaye, scion la methode indiquee par STRAUSS et LAVY (5), de precipiter la cellulose apres degradation pour rechercher si une certaine fraction n'avait pas ete tellement degradee qu'elle ne serait plus precipitable. Malheureusement, nous n'avons pu utiliser cette methode, car apres avoir fait une solution de cellulose dans la cupri- ethylene-diamine et avoir preleve des portions aliquotes que nous avons precipitees par l'acide sulfurique 4N, nous n'avons pas_ trouve des resultats constants. Apres oxydation, nous avons retrouve des poids de celluloses degradees reprecipites tout aussi inconstants puisqu'ils varient entre 90 et 120 % du poids de cellulose initial pour un meme echantillon. Mais si on ajoute du glucose a une cellulose de degre de polyme- risation initial 1000, il faut 15% de glucose pour que le DP trouve experimentalement soit de 800 environ et 30 % pour un DP de 650. Le glucose n'est pas precipitable ; on peut donc en deduire qu'il n'y a pas ou tres peu de glucose forme par degradation. De ces essais a diverses concentrations, on peut tirer les conclu- sions suivantes : ? a surface de contact constante, la concentration de la- cellulose ne semble pas avoir d'action sur la vitesse de degradation ; ? les impuretes normales presentes dans l'hydroxyde cuivrique ne semblent pas agir sur la vitesse de degradation ; 1 - ? les pentes des droites representant la variation de ? en DP fonction du temps qui, comme nous l'avons montre, sont une mesure de la vitesse de degradation, peuvent Varier dans des limites assez consi- derables, c'est-a-dire que, independamment de la concentration, les vitesses de degradation ne sont pas toujours les memes. II semble cependant que ces differences soient plus marquees a 25?, temperature laquelle tous ces essais ont ete faits, qu'a 20?, temperature a laquelle nous vions travaille precedemment. L'hypothese que nous avons faite au debut de ces essais sur la degradation de la cellulose en fonction de la concentration nous semble Men confirmee ; la coupure des chaines a bien lieu au hasard et non en bout de chOne ou meme a un endroit preferentiel, tout au moms jusqu'a des DP superieurs a 150. L'etude de la courbe de degradation pour les celluloses a tres haut degre de polymerisation est tres delicate, car on se trouve alors dans la partie verticale de la courbe hyperbolique et la moindre erreur dans le temps provoque des differences considerables. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 36 Le mecanisme de la degradation de la cellulose en solution n'a pas ete elucide totalement, mais ii semble que Fon puisq_e malgre tout obte- nir encore certains renseignements. Si l'on consii.ere les courbes en fonction de C qui permettent d'extrapoler a la visco ite intrinseque, des celluloses degradees par roxygene, courbes etabli, s par dilution, on volt que la pente de ces courbes est une fonction linaire de la viscosite intrinseque et que cette fonction lineaire est la men-1--, que celle obtenue avec des celluloses oxydees (clegradees par l'hyper, nlorite de sodium) ou encore que celle donnee par la cellulose blanchie 3) . Il est cependant hasardeux de tirer la conclusion des a present que le mecanisme de la degradation est le merne ; dans tous ces cas, la coupure a lieu en n'importe quel point de la chaine. CONCLUSIONS Nous avons montre que la degradation de la cf Aulose est fonction de la surface de contact entre la solution et Foxygen , que la vitesse de degradation est independante de la concentration et clone que la coupure n'a lieu ni en un endroit preferentiel, ni en bout de chaine. Par contre, nous avons attire l'attention sur le fait que la pureti des reactifs etait tres importante bien que nous n'ayons pas Pu trouvl r la cause des dif- ferences de vitesse de degradation. Nous avons mo itre egalement que si les rayons ultra-violets ont tine action sur la deg adation, la lumiere diffuse ne semble pas en avoir. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 37 BIBLIOGRAPHIE (I) J. CYROT ? Bul, Inst. Text. de France - ig5o, N? 22, P? 25 h 41. ? Communication privee. (2) A. BANDERET (3) X. (4) L. NICITOT.AS (5) STRAUSS et LEVY - Bul. Inst. Text. de France - 1950, N? 1.1? 43 h. 52. ? Comunicat ion privee. Papertrade Journal - 1942, 30 .Avril, 11. 33 h 37. Nola. ? Cette bibliographic West clue le complement de celle publiee dans la reference I. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 38 RESUME L'oxydation de la cellulose dans la cupriethylene-diamine est fonction de la surface de contact oxygene-solution, de la duree et de la temperature. La degradation evaluee en degre de polymerisation est dautant plus importante que le degre de polymerisation est eleve, done que la cellulose est moms degradee. En absence d'oxygene, ii n'y a pas d'oxydation ; les anti-oxy- gene ne semblent pas avoir d' action. La coupure de la molecule de cellulose a lieu au hasard. SUMMARY The oxida ion of cellulose in copper ethyle e diamine is a function of the surface of contact, time of reactio I and temperature. The degr, dation expressed in degree al polymerisation is greater the hi; her is the degree of polymerisati ,n, that is, the less degraded is tl e cellulose. There is ro oxidation when the is no ox ,gen ; anti-oxygen do not seem tt have any effect. The rupture of the cellulose chain through oxidation takes place anywhen along the chain. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 ANALYSE COLORIMETRIQUE DES TISSUS TRAITES PAR LES PRODUITS DE BLANCHIMENT OPTIQUE M. le Ch. PINTE Directeur du Centre de Recherches . de in Soierie et des Industries Textiles - Lyon (Suite) (*) par et CHAPITRE II - M. Paul ROCIIAS Docteur es-Sciences Chef du Laboratoire ,de Recherche Scientifitine ETUDE DE L'INTENSITE ? ET DE LA COULEUR DE FLUORESCENCE DES PRODUITS DE BLANCHIMENT OPTIQUE APPLIQUES SUR TEXTILES Nous avons montre, dans le chapitre precedent de cet article, qu'il etait possible, dans une certaine mesure, d'evaluer l'intensite de fluo- rescence des tissus traites par des agents de blanchiment optique et d'apprecier leur couleur, par comparaison des resultats des seules mesu- res de blanc effectuees successivement sous deux lumieres, l'une riche en ultraLviolets, l'autre limitee au seul visible. L'intensite de fluorescence dans les differentes bandes spectrales etait alors egale a la difference des valeurs relatives a la diffusion des (5) La premiere partie de ce,tte 4tude a ete publiee clans le N? 27, Au-at 1951, du Bulletin de l'I.T.F., p. 25. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 40 o3000 /o5dogo? 4L,?s. ?r/ZZ v/y gil 00 170 60 5 0 30 2 5000 Graphique VII HOU 7000 C4 C5 C 0 /; 00000101. ? 'A .,- Produil- A cc irbe Cie . B ./ Ca ? ir " ? f/ ' C 5 4 . . ID . . , , 0 30 ?40 5( 0/7CPfl ofi o'u e nr /MP/7 age? 0,0 pe Graphique VIII /Te Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 41 echantillons determinees dans run et l'autre cas. TJne telle methode, neanmoins, procedant par difference, conduit a des resultats assez peu reproductibles. Il nous fallait en rechercher d'autres, plus precises et plus fideles. A ? MESURE DE L'INTENSITE DE LA LUMILRE DE FLUORESCENCE. On peut qualifier une telle mesure de ? fluorometrie de diffusion ; le principe, extremement simple, en est le suivant : L'echantillon est irradie par un flux d'ultra-violet et la lumiere emise par fluorescence dans la totalite du visible et filtree de l'ultra- violet non absorbe, est regue sur une cellule photoelectrique qui permet son evaluation. Le montage effectue pour cette mesure est schematise par la figure 3. S. ?Fig. 3 S = Source d'ultra-violet E = Echantillon en examen Fi =- Filtre laissant passer le seul "F2 = Entre arretant Pu. v. neutre U. 'V. dans le visible = Miroir C = Cellule Le seul probleme delicat pose par ? la realisation ae ce montage a consiste a trouver deux filtres F1 et F2 sensiblement complementaires : le premier, F1, permeable aux radiations U.V. de 3.000-3.900 ?A de longueur d'onde, le deuxieme F2 arretant les U.V. et permeable aux radiations du visible, soit de longueurs d'onde superieures a 3.900 ?A. Nous avons choisi comme filtre F1 un filtre assez analogue a l'U.G. 2 de ScHorr. et de fabrication anglaise. On trouvera sa courbe de transmission reproduite sur le graphique VII M. (*) Nous devons ces renseignements a robligeance de M. MOUGEOT, Directeur du Laboratoire de Physique de la Ste FRANCOLOR, qui a hien vOulu effectuer Petude spectrometrique de ce filtre. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20 : CIA-RDP80-00926A005600050001-6 42 TABLEAU V Produit de blan- ment optique utilise Tissu temoin non trait& A Concentration du bain de teinture en mg/litre 10 20 30 40 10 20 30 40 5 10 15 ? 20 2 4 6 10 1 3 6 10 5 10 15 20 30 Fluorescence totale 25 42 56 66 76 41 52 66 80 42 52 64 77 42 57 72 87 34 49 69 83 43 52 61 '72 77 Le filtre complementaire a ete choisi dans la erie WRATTEN, soit le n? 2 de cette marque. La courbe de transmissio est figuree sur le meme graphique. Un filtre additionnel infra-rouge ai etait adjoint. On trouvere dans le tableau V, les valeurs de rescence totale mesuree a l'aide de l'appareil serie d'echantillons de tissus rayonne traites par de concentrations variables dans les conditions indiqt (Bulletin I.T.F., No 27, Aout 1951, page 35). Les v, fluorescence sont evidemment arbitraires et corresp( la fluorescence d'une plaquette de matiere plastiqu( comme &talon et conservee a l'abri de la lumiere. l'intensite de fluo- ant decrit sur une agents optiques ees precedemme.nt leurs d'intensite de ndent a des % de fluorescente prise Ces memes resultats sont representes sur lc graphique VIII : Intensite de fluorescence des differents produits ex, mines en fonction de la concentration en mg/litre de ragent optiq e utilise pour le blanchiment. us mettent en evidence les differences consider; 'ales de concentra- tion entre les differents produits actuellement sur le rriarche. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Fig. 4 S Source d'ultra-violet Fi = Filtre laissant passer I'm v. et arretant toutes les radia- tions du visible AT == Aliroir Fa F.C. C. 43 Echantillon en ?examen 12. = Filtre neutre dans le visible et arretant l'u. v. non absorbe F.C. Filtres colors analyseurs C Cellule reliee an galvanometre us font apparaitre la necessite, pour les utilisateurs, d'apprecier leur activite par des mesures appropriees. ? COULEUR DE FLUORESCENCE DES PRODUITS DE BLANCHIMENT OPTIOUE. Nous nous sommes propose de rechercher un processus d'etude qui permet de mettre en valeur la qualite de la couleur fluorescee. Cette notion nous apparait importante parce qu'on trouve en elle l'explication des aspects colores differents, bien connus des utilisateurs, tendance au bleu ou au rose violace notamment, suivant que les tissus ont ete traites avec tels ou tels autres produits utilises et a des concentrations plus ou moms elevees. Le dispositif de mesure auquel nous nous sommes arretes se trouve schematise sur la figure 4. Nous avons utilise pour ces essais : 1?) Comme source U.V. (S), une lampe A mercure Philips Philora H.P.W. 120 watts. 2?) - Comme Litres Fi et F2, respectivement les filtres d? decrits precedemment et dont les caracteristiques de transmission se, trouvent indiquees sur le graphique VII. 3?) - Comme filtres colores : les Litres interferentiels de la COMPAGNIE DES COMPTEURS A Paris. Nous les avons preferes, pour ces essais aux Litres WRATTEN, taut A cause de l'etroitesse de leurs bandes que de leur facteur de transmission relativement eleve (Voir gra- phique VI - Bulletin I.T.F., N? 26, Aolit 1951, page 41). Si l'on place en E un echantillon non fluorescent, les deviations du galvanometre sont nulles dans toutes les bandes du spectre. Si Fon y 4 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 44 TABLEAU VI Deviations du galvanometre Violet Bleu Vert Janne Rouge Orange Blanc de magnesie . . 6 3 0 0 0 Rayonne non blanchie 5 8 4 1 Rayonne blanchie par agent optique (E) 3 mg/litre 16 32 10 3,0 3,0 2 8 mg/litre 18 39 12 3,5 3,0 2 15 mg/litre 27 52 16 4,5 4,5 3 40 mg/litre 39 82 22 7,5 5,0 Temoin (plaquette fiuorescente) 20 place, au contraire, un echantillon fluorescent, on oi serve des deviations sensibles du galvanometre dans toute les bandes qui correspondent a la zone de reemission par fluorescence dans le dolt tine du visible. On trouvera, a titre d'exemple, consignees tans le tableau VI, les valeurs des deviations observees dans les difforentes bandes spec- trales pour quelques-uns des echantillons examinos. Ces valeurs ne peuvent avoir qu'une signific ttion relative. Elles dependent, en effet, non seulement de l'intensite d la couleur de fluo- rescence excitee, mais aussi des facteurs de tran nission des divers filtres F1 - F, et F.C. et enfin de la sensibilite la cellule C pour chaque bande chromatique. Il nous fallait lever cette indetermination ; nous y sommes parvenus en calculant, pour chacune des bandes filtrees, un t -.3oefficient correc- tif qui tient compte tie ces differents facteurs. TABLEAU VII Filtres interferen- tiels 1- Wratten N. 2 (Mitre U. V.) 1 Transmission des nitres (n112) Brilifince energetique relative de la source. !eviction c, I galva- )ometre 5 Coefficient IC 6 Maximum 2 Limites de transmission a int-hauteur de la courbe 3 Valour moyenne dans les limites de transmis- sion dei flltres 4 Violet Bleu Vert Jaune Orange Rouge 416 465 530 565 590 640 406 - 426 455 - 475 523 - 537 550 - 575 580 - 600 630 - 650 36 55 86 102 112 128 30 74 128 100 170 105 1,20 0,75 0,67 1,02 0,66 1,22 n,inecifiarl in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 45 Cet etalonnage a ete realise de la fawn suivante : 1?) - On utilisait comme source (S) une lampe a filament de tungstene alimentee sous regime constant, dont la temperature de couleur determinee par pyrometrie optique a ete trouvee egale a 3.500?K. Assimilant le tungstene a 3.500?K a un corps noir a la meme temperature et se rapportant a une table, on pouvait connaitre avec une approximation suffisante la brillance energetique de cette source dans les differentes bandes du spectre qui correspondent aux limites de transmission des filtres colores utilises. On trouvera ces valeurs rassemblees dans la colonne 4 du tableau VII, en regard des valeurs maxima et limites de trans- mission des filtres. 2?) - On plagait en E un diffuseur blanc : plaquette de blanc de magne- sie, en F1, F2 et F.C. les differents filtres, comme indique precedemment. 3?) - On notait les deviations du galvanometre pour les differentes bandes filtrees. Le diaphragme variable etant maintenu a une ouverture constante et -Wile que les deviations restent, quel que soit le filtre color& dans les limites du cadran du galvanometre. Ces deviations, lues sur le cadran, sont consignees dans la colonne 5 du tableau VII. On calculait alors les ? coefficients ? correctif s K, rapport pour chaque bande spectrale de la brillance energetique de la source a la deyiation du galvanometre. Les valetas des coefficients K sont rassemblees dans la colonne du meme tableau VII. Pour toutes mesures effectuees dans les conditions precedemment defini8s, notamment en ce qui concerne la position et les caracteristiques des filtres et pour une cellule donnee, on pourra directement, en les multipliant par les coefficients K de la colonne 6, transformer les valeurs des deviations du galvanometre pour les differentes bandes en valeurs de brillance energetique relative valables pour les m8mes longueurs d'onde. Appliquant cette methode a l'analyse de la fluorescence des tissus traites par ces agents optiques, nous avons transforme les valeurs des deviations du galvanometre, dont un certain nombre se trouvent ras- semblees sur le tableau VI, en brillance energetique relative (Tableau VIII). Il est evident que ces mesures ne peuvent etre reproductibles, en valeur absolve, que pour autant que la source d'ultra-violet excitatrice de la fluorescence conserve une intensite constante. Ii convient donc d'utiliser comme temoin de comparaison, pour cha- que serie de mesures, un ecran fluorescent stable dans le temps. Nous ? avons consign& en fin des tableaux VI et VIII, les valeurs de la fluo- rescence de cet ecran temoin, dans la bande de son maximum d'emission, soit l'orange. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 48 TABLEAU VIII 13ril 1- ice energetique relativ de fluorescence Violet Ineu Vert Jaune Cmangd Rouge Blanc de magnesie . 7,2 2,2 0,7 0 0 .0 Rayonne non blanchie 6,0 6,0 2,7 2 0,7 1,2 Rayonne blanchie par agent optique (E) b. 3 mg/litre 19,1 24 6,7 3 2 2,5 8 mg/litre 22 29 8,0 3,5 2 2,5 15 mg/litre 32 39 10,8 4,5 3 3,5 40 mg/litre 47 61,5 14,7 7,5 3,5 3,5 Temoin ? ? ? ? 13,2 ? TABLEAU IX Brillance energetique relative de fluoresce; ce des tissus traites par les agents optique Violet Bleu Vert Jaune Orange Rouge Plaquette temoin _ _ _ ___ 100 ? Produit A ? 10 mg/litre 85 113 35 15 11 19 40 ? 164 222 56 23 11 19 80 ? 230 345 88 46 11 19 100 ? 275 405 103 53 15 19 Produit B ? 20 mg/litre 156 160 46 23 15 19 50 ? 237 252 72 38 26 lg 80 ? 290 320 84 46 31 19 Produit C ? 10 mg/litre 205 158 40 23 11 19 20 ? 300 239 56 30 15 19 40 ? 395 295 64 34 23 19 Produit D ? 3 mg/litre 156 130 30 15 11 19 8 e 265 209 48 23 11 19 20 ? 428 285 68 34 15 19 Produit E ? 3 mg/litre 145 182 51 23 15 19 8 D 167 220 61 27 15 19 15 ? 243 296 84 34 23 27 40 ? 357 467 111 57 27 27 Produit F ? 5 mg/litre 128 131 35 19 11 19 10 ? 182 186 52 23 11 19 20 ? 220 225 59 26 11 19 40 n 280 280 72 31 15 19 Rayonne non blanchie 45 45 20 15 5 1 Plaquette de blanc de magnesie 55 17 5 0 0 0 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 47 Nous avons convenu, pour la suite de nos essais, de ramener a 100 la valeur de la fluorescence de ce temoin et, par suite, d'exprimer en % les brillances energetiques relatives de fluorescence. L'ensemble des resultats de nos mesures exprimes sous cette forme et portant sur des echantillons traites par divers agents optiques desi- gnes par les lettres d? utilisees dans ce travail, se trouve rassemble dans le tableau IX. Les memes resultats sont representes graphiquement par les cour- bes des graphiques IX a XV, qui expriment la. brillance energetique relative de fluorescence en fonction des longueurs d'onde dans le domaine du visible. De telles mesures sont particulierement utiles a l'examen et a l'appreciation comparee des prociuits de blanchiment optique dont l'uti- lisation est devenue aujourd'hui courante. Elles permettent de prevoir l'aspect des tissus traites par ces produits, probleme important pour les fabricant s et les utilisateurs. (A suivre.) Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 50 50 ) 100mg 80mg ) 4?192/ Violet Bleu Vert Jaune Oranoe Rouqe (al (6165) (53n) (5fi5) (5Qn) ' (fi4n)(min Graphique IX Produit de blanchiment optique ? A L DIVA 50ingik ih....._ 1111111111111 mr........_._ Violet Bleu Vert Jaune Oran0 Rouge @To) (465) (53o) (5o5) (640) (rntl) Graphique X Produit de blanchiment optique ? B Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 1 I zionVE mule ) WIVE 1 , J i Violel 010 B EU (405) aft (530) Jaun Uranqe me (u.5) (9a) (50 ((nil) Graphique XI, Produit de blanchiment optique < C ? I , I 1 I I 1 Violet Bleu Vert Jaune Orange Rome (die) (am (55n) (55.5) mgni (64 anu) I Graphique XII Produit de blauchirrtent optique > sur les matieres textiles permettent de se rendre compte de leur tendance a accumuler et retenir les charge's electrostatiques. Le? nouvel appareil, realise oomme com- plement du ? static tester ?, s'est revele utile, notamment en raison de la facilite des mesures et de la reproductibilite des resultats. Un tableau donne les proprietes electriques du coton, de la laine, du Nylon et de l'Orlon. Deux schemas. Une photographic. (A.D.) XXVIII ? 5297 Cotton testing held important. Importance du controle du coton. - THE AMERICAN WOOL and COTTON REPORTER, LXV, Avril 1951, n? 19, p. 13, 106. Conseils pour le controle des proprietes des fibres de coton (Apparel' Pressley), pour la mesure de la longueur des fibres (Fibrograph) et la mesure de la finesse des fibres (Micronaire). Les methodes decrites sont Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 106 tres utiles pour l'achat du coton ; de nombreuses us nes n'ayant pas d'ache- teurs peuvent, grace a elles, controler les matieres et produire des files de haute qualite. (J.L.) XXVIII -- 5298 BOHRINGER H. -- Mechaniseh-technologisch, Priifverfahren an der Faserilocke. -- Le controle des fibres par des methodes mecaniques- technologiques. - TEXTIL-PRAXIS, V. Decembre 1950, n" f2, p. 777-779. Le < leukonieter ? a ete realise pour determine objectivement le degre de blanc des matieres textiles. Il comprend deux elluies photoelectriques, un electrometre et des filtres. I fti autre apparel! de mesure, le britlance ,tre 3,, est aussi decrit en detail. 1)eux photographies. (A.D.) XXVIII ? 5299 GHOSEZ J. -- Examen de auelques propriett, physiques des fils de rayonne. RAYONNE, VI, Novembre 1950, n" 1 p. 69 a 80. Au cours d'une conference donnee C Bruxelh -, en octobre dernier, l'auteur a fait un expose sur quelques proprietes p lysiques de la rayonne, leur evaluation et leurs repercussions sur la quail e des produits finis. It examine les effets du nombre des brins, .du titre etudie les constarices dynamometriques : allongement et tenacite et les elations entre allonge- meat, deformations et les forces capables de les pi woquer. Quatre photos d'appareils. Huit courbes. Six s hernas. (J.L.) XXVIII --- 5300 HIMMELFARB D. -- Cordage buoyancy and waterproofing efficiency tests. ? Les essais de moulllabilite et l'imperme tbilite des cordages. - FIBRES, FABRICS and CORDAGE, XVII, Decembic 1950, n? 12, p. 399, 400. Les essais soot effectues avec des longueurs tie e E?de de 30 cm, les deux extrema& de chaque longueur &ant convenablemell. Lees. L'immersion se produit graduellement jusqu'au moment oit la surfac- superieure de la corde est au niveau de l'eau. Pour les cordages impermeabilises, l'essai COD porte une immersion sous charge a environ 30 cm de profondeur dans Pea T. Au bout d'une heure. la corde est secouee, puis pesee. Description d'autres essais anglais et americain: Un tableau indiquant les temps d'immersion prevus pour deux categories de ,diametre de corde. (A.D.) XXVIII ? 5301 MMMELFARB D. ? Cordage testing method Methodes de test des eordages. - FIBRES, FABRICS and CORDAGE. XVII, novembre 1950, tr' 11, p. 365 a 367. L'auteur expose differentes methodes de test e; iployees par cinq usi- nes ii decrit les machines utilisees pour les essais de duree et d'abrasion et les experiences qui ant ete faites. Deux tableaux. Sept croquis. (J.L.) Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 107 XXVIII ? 5302 THOMASON W.A. ? How about quality control for small mills? ? Comment se presente le controle de la qualite dans les petites usines. - TEXTILE WORLD,- CI, Janvier 1951, n" 1, p. 99-101. Un filateur-tisseur a mis au point un ensemble d'appareils de controle qui a permis d'obtenir en quelques mois une amelioration notable de in regularite des produits fabriques. Onze photographies des appareils utilises. (MR.) Xxviii? 5303 SNELL C.T. ? Methods of evaluating detergents. ? Les methodes d'evaluation des detergents. - CANADIAN TEXTILE JOURNAL, LXVIII, Janvier 1951, n."' 2, p. 56, 58, 60. . L'auteur rappelle les conditions de temperature, concentration d'elec- trolytes, durete de l'eau, etc. a utiliser en laboratoire pour se rapprocher .autant que possible des conditions de la pratique. Il examine ensuite les methodes utilisees en laboratoire pour etablir la valeur des detergents pour des usages determines. ? L'evaluation des agents teusio-actifs, la mesure du pouvoir dispersant, lps experiences sur coton sali, les, epreuves dans le Terg-o-tometer et le Launder-o-meter, les essais effectUes a grande echelle sont traites en detail. Neuf references bibliographiques. (A.D.) d) Defeats des textiles. XXVIII ? 5304 RATH H. ? Die Auswirkung von Rohstoff-, Spinn- und Webfehlern in der Ausriistung. ? L'incidence des defauts des matieres premieres, de filature et de tissage sur la finition. - TEXTIL-PRAXIS, VI, Fevrier 1951, n? 2, p. 130-133. Les divers ifacteurs influant sur la finition des tissus, notamment de rayonne et de fibranne, sont trait& en detail. Des baindes de ton different peuvent provenir d'inegalites dans les matieres premieres ou la contexture du tissu surtout avec des colorants a forte affinite pour la fibre. L'article decrit les principales conditions et precautions a prendre : matieres de depart homogenes ; uniformite des m?nges; regularite du titre, de la torsion et de la tension des fils traites ; humidification et vapo- ? risage uniformes ; etc. Lorsqu'une complete homogeneite de fabrication n'est pas possible, la forniation de bandes doit etre evitee ou attenuee en utilisant des colorants appropries. (A.D.) XXVIII ? 5305 MOODY L.E. ? Elimination of warp streaks in viscose filament linings. ? L'elimination des raies en chaine dans les doublures de rayonne viscose. - CANADIAN TEXTILE JOURNAL, LXVIII, Janvier 1951, n? 2, p. 52. ? L'auteur etudie lea conditions de foulardage pour eliminer les raies en chaine dans la teinture de la rayonne viscose. Ce defaut peut etre dfi a des 8 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 108 ills de chaine ayant des affinites differentes pour le ei tuner, la solution consistera non a prolonger la tom rapidement. Si une solidite optimum de teinture est e avant teinture sera necessaire dans bien des cas. L'artiele donne des indications sur les foulards, ii en fonction des qualites requises (solidite A la lumiere, la temperature de foulardage, l'utilisation de Rapida& sage sur jigger, eventuellement la finition par agent i ration des bains. En general, les colorants directs appliqu?a ten donnent le meilleur unisson en pareil cas. (A.D.) XXVIII -- 5306 lorant. Pour le tein- are, mais a egaliser igee, le deseneollage choix des colorants au frotternent, etc.) et de sel avec pas- itionique, la recupe- perature peu elevee Crease resistance of wool cloths, --- Infroissabilit des tissus de laine. - WOOL RECORD, LXXVIII, Novembre 1950, n" 216,, p. 29, 30, 33. L'auteur etudie les causes des defauts se produi -Int au lavage et au foulage ; ii indique les precautions a prendre. La resistance au froissement vane avec le mouilage, la temperature e,t le milieu (eau, savon, acide, alcali). Au lavage, on petit retarder la diminution de resi lance en rnaintenant le bain a une temperature aussi peu elevee quo pos ible et en rineant a froid. Pour le foulage, differents facteurs semi, examines des tissus laves, temperature et degre de savonnage. au debut de l'operation preserve les tissus legers. La temperature de lavage des draps, apres fat etudiee. (A.D.) XXVIII ? 5307 Variation in crease resistance. ? Differences d iroissement. - TEXTILE RECORDER, LXIX, Juin 195 Une etude de la qualite du traitement anti-froissi breux defauts provenant d'un manque de contral qualite de tissu, on a remarque des differences dans I lite. On a etudie l'influence de la quantite de forma: 1.issu. (J.L.) XXVI1i- 5308 DELANGRE P. - Quelques defauts de tricotagt RAYONNE ET FIBRES SYNTHETIQUES. 1. Fevrier 1 Mars 1951, n" 3, p. 46 A 50; Avril 1951, n" 4, p. 24 a Description des ,detauts les plus frequents, analysE et indications de remedes appropries. Le bobinage d soin et d'attention (surveillance constante des devidoi geurs, nettoyage et remplacement des guide-fils, reg l'huile d'ensimage, etc...). Les bris d'aiguilles sont um ont provoques par insuffisance de rodage, encrasseme mauvais graissage, reglage defectueux, etc... Deux methodes pour rertionter le tricot en cas de in rupture d'un ou plusieurs fils sont indiquees. L'a rents defauts (en lignes verticales et en lignes obliqu teneur en humidite e basse temperature I age, est egalement as la resistance au n" 819, p. 90. at a revele de nom- Pour upe meme degre d'infroissabi- lehyde appliquee au en ? Interlock ?. 151. IV 2, p. 40 a 42; 31. des causes possibles mande beaucoup de .s, reglage des pur- .ilarite du debit de cause de defauts et ti de &verses pieces, hute provoquee par teur enurnere diff? s, defauts parsemes, Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 109 etc., coupures, mailles coulees, =files rnordues) et en indique les causes et les remedes. Un tableau. Cinq schemas. Cinq photographies. (J.L.) XXVIII -- 5309 ? GREGORY J. et TYSON A. -- Defective drafting arising from imper- fections in front rollers of mules and ring frames. ? Etirage defectueux produit par le mauvais ?t des cylindres avant des renvideurs et m?ers a filer continus. - JOURNAL OF THE TEXTILE INSTITUTE, XLII, Avril 1951, n? 4, p. T147-167. Des cylindres d'etirage defectueux produisent des irregularites dont is periodicite est fonetion de la circonference du cylindre. Ces irreguiarites se produisent surtout sur le cylindre avant. Les causes du deraut sont analysees en detail et les modifications a faire sont indiquees. Sept figures. Quatre tableaux. (H.W.) 6) MATERIEL (aufre que cetui mentionne sous rubriques 2, 3, 4, 5) XXVIII ? 5310 RUSCA R. A. et YOUNG R.C. ? The SRRL type cotton opener. ? Ouvreuse de coton du type SRRL. - TEXTILE INDUSTRIES, CXV, Mai 19511,, n? 5, p. 107 a 111. Le Laboratoire de Recherche Regional du Sud des Etats-Unis a mis au point une nouvelle machine pour l'ouvraison du coton qui perrnet un nettoyage plus efficace. Principes de la construction et du fonctionnement de l'ouvreuse. Resultats d'essais. XXVIII ? 5311 TETLOW H.V. ? Improving efficiency of open type English scribblers and cards. --- Amelioration de l'efficacite des cardes et cardes briseuses anglaises. - TEXTILE MANUFACTURER, LX.XVII, Juin 1951, n' 918, p. 268 a 291. Description de quelques. dispositifs bien congus et offrant une plus grande souplesse dans le travail des m?nges de differentes sortes de fibres et une reduction des dechets. Dispositifs ameliorant la circulation de l'air, les comrnandes des travailleurs, debourreurs du yolant, etc. Quatre photographies. Quatre schemas. (J.L:) XXVM ? 5312 A new idea in ring spinning. ? Unc nouvelle conception de la his- Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 110 Lure sur continu. - TEXTILE WEEKLY, XLVIII, J 1.in 1951, n? 1212, p. 1580, 1582. La Societe de Construction Schiermeyer, Breme, a trouve un nouveau perfectionnement des m?ers A filer la laine et les dee ets de coton. Le nouveau dispositif (deux petits rouleaux a dole rotation) donne a la meche une torsion preliminaire avant que le flu r,s revolve sa torsion definitive. Avantages : plus grand etirage, plus grand endement, flu meil- leur. L'etirage et la torsion sent d'une regularite parf a te. Trois photographics. (H.W.) XXVIII -- 5313 SCHUMACHER A. Metier a tisser a alimeltation continue. - L'INDUSTRIE TEXTILE, LXVIII, Mai 1951, no 774, p 230. 11 s'agit id'une adaptation sur m?er ancien (Diede ordinaire) d'un 'systeme brevete d? depuis plusieurs annees par M. Dewas. Differentes etapes de la realisation de ce dispositif, description, .:aracteristiques. Le m?er 4 frames (ou plus) pick-pick comporte des seleet,nirs, simples Lvillets animes d'un mouvement de va-et-vient mus par ur,s' petite mecanique Staiibli. Une came unique actionne un levier qui prese'ite le flu? selecte >> a l'aiguille. Le principal avantage de cette technique st de permettre de tisser sur le meme metier, par des moyens d'une simp:icite totale, .soit une frame, soit deux, soit quatre ou six frames pick-pick Autres avantages : grander vitesses, suppression du canetage. grand? ,-tularite du tissu, entretien reduit, etc. (3.L.) XXVIII -- 5314 tine nouvelle selectionneuse de fils automatique au rentrage. - L'IN- DUSTRIE TEXTILE, LXVIII, Fevrier 1951, n? 771, p 85. Cette machine anglaise (Moore et Avery) a ete e udiee pour faciliter le travail de la rentreuse et accroltre le rendernent. permet de prendre individuellement les Ills de la nappe de chaine. Des qtA,- cinq fir de chaine sent separes de la nappe et mis en position sur les pas de la vis sans fin qui presente les fils a la rentreuse, le moteur s'arrete a tomatiquement. Un nombre constant de fils est toujours pret A etre saisi. Si un El n'est pas ren- tre dans Pordre voulu, la vis sans fin n'engage pas de r )uveau flu, signalant ainsi l'erreur. (AD.) XXVIII -- 5315 BOWERS F.L. Autornatic knitting of solid color Tricotage automatique d'articles de bonneterie A motifs TILE AGE, XV, Fevrier 1951, n" 2, p. 43-44. L'Article decrit la machine Banner, simple et de regl entiere satisfaction pour le tricotage automatique dessins de quatre couleurs ou plus. Trois photographies. (J.L.) XXVIII ? 5316 New fabric dyeing machinery. -- Nouveau mat des tissus. - TEXTILE MERCURY and ARGUS, n" 3230, p. 337, 378. Des essais ont fait resso tir, pour des machines A pattern hosiery. -- de couleur. - TEx- tge facile, elle donne tidies de bonneterie el pour la teinture XXIV, Mars 1951, .indre la lathe, une Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 111 tres grande economie de vapeur avec le systeme d'agitation mecanique. Une machine normale pour bonneterie a consomm?25 kg/heure de vapeur pour maintenir la turbulence, tandis qu'un modele Hussong pour teinture en lii n'a demande que 55 kg/heure. Un nouveau modele entierement ferme (type Pegg) a ete mis au point pour la teinture de tissus legers et de tricots en boyau, avec une tempera- ture de bain legerement inferieure A l'ebullition. Cate machine perrnet une economie globale de vapeur de plus de 50 (/0. Details sur le systeme de filtrage du bain. Deux photographies. (A.D.) XXVIII ? 5317 The pre-shrinking of fabrics. ? La pre-contraction des tissus. - TEX- TILE MERCURY, CXXIV, Jluin 1951, n? 3244, p. 979, 981. La Maison Emerson, Londres, a construit une machine automatique utilisant des projecteurs infra-rouges pour stabiliser les tissus. Le tissu passe dans la vapeur dune chambre de relaxation, il est seche a l'infra- rouge et ensuite stabilise definitivement dans un courant d'air froid. La marchandise garde toutes sea qualites de toucher et de resistance. Production 7-25 m/minute. Trois photographies. Un graphique. (H.W.) XXVIII ? 5318 A new model of the Ferranti guider. ? Nouveau modele du guide- tissu Ferranti. - SKINNER'S SILK and RAYON RECORD, XXV, Janvier, 1951, 1, p. 36-38. Le guide-tissu a controle electronique fabrique par la Ferranti Ltd depuis 1946 n'a cesse d'?e ameliore depuis cette ?que; le modele MK 11, recemment mis en vente, est muni de tous les derniers perfectionnements. Description detainee de l'appareil, etude des differents organes, analyse du fonctionnement, possibilites d'utilisation. Quatre photographies. (M.R.) XXVIII ? 5319 New heavy duty surface hatching machine. ? Nouvelle enrouleuse grand rendement. - TEXTILE WEEKLY, XLVII, Janvier 1951, n? 1193, p. 248. L'article decrit une nouvelle enrouleuse en acier a grand rendement. C'ette machine presente deux caracteristiques remarquables : 1) elle realise une tension uniform e qui Ovite toute irregularite de l'enrou- lement, 2) la vitesse lineaire circonferentielle est constante, quel que soit le din- metre du rouleau. Le rendement, declarent les constructeurs, est de pres de 140 metres, par minute, le. diametre maximum du rouleau est de 1,20 metre, ce qui per- met d'enrouler en une seule operation de 1.000 A 2.000 metres de tlssu. Une photographic. (MR.) Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 112 7) SCIENCES PURES XXVIII -- 5320 VOLLMERT B. ? Ueber den alkalischen Pek decomposition alcaline des pectines. - DIE MAKROt MIE, V. Novembre 1950, n" 2, p. 110-127. On a montre, par la determination du golds mol; [re, que la desesterifieation alcaline de la pectine importante depolymerisation (de 150.000 a 50.000) tion a lieu dans une atmosphere d'azote pur. La clepob. La saponification et l'acide pectique forme par saponil a-vis de la soude diluee en presence d'azote. Mais si ' groupes methoxyl par methylation par le diazomethane rester methylique est de nouveau decompose. 11 en est alginique et son ester-methylique. Une serie d'essais a position alcaline de la pectine doit etre imputee C la ester methylique et que cette decomposition est fonc methoxyle, c'est-?ire du degre de saponification. Or, acetal de l'acide galaturonique est detruite sous l'infitr carbonyle. (S.F.) XXVIII ? 5321 inabbau. ? Sur la OLEKULARE CHE- ^ulaire par osmome- s'arcompagne d'une rue si la saponifica- Lsation cesse avec 'ation est stable vis- on introduit d'autres ar le methanol -HC1, le meme pour l'acide lontre que la &corn- wesence de groupes ion de la teneur en pense que la liaison -ice du groupe ester- MATTHES A. -- Ueber die Berechnung des Polymerisationsgrades beim Perlon aus viscosimetrischen Daten. Calcul c degre de polyme- risation du Perlon par viscosimettie. - MAKROMOL 'ICULARE CHEM1F_. V, Novembre 1950, n' 2, p. 165-178. L'hydrolyse du Perlon en milieu homogene deterr me par des mesures viscosimetriques montre que la constance du coeffici( nt de reaction n'est pas satisfaisante lorsqu'il existe une proportionnalite el 're le degre de poly- merisation et la viscosite intrinseque. Au contraire, la constance du coeffi- cient est satisfaisante lorsque P 124. (ri) - 5 Cette formule semble pouvoir etre consideree cor me une approxima- tion suffisante pour une courbe tres peu incurvee, ay nt son origine A 0. (S.F.) XXVIII ? 5322 BEALL G. et JOERGENSEN L. ? On the mechanism of the hydro- lytic cleavage of the interunit bonds in the cellulose molecule. -- Sur le mecanisme de scission hydrolytique des liens inter- nonomeres dans la molecule de cellulose. - TEXTILE RESEARCH J01 RNAL, XXI, Avril 1951, n? 4, p. 203. Developpement rnathematique de la question, en e limitant a l'ettule de la frequence de distribution de la cellulose de degr s varies de polyme- risation, par calcul des moments statistiques. Il est possible alors de considerer un grand noin.I ?e, de cas, sans faire de restrictions quant A la matiere de depart. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20 CIA-RDP80-00926A005600050001-6 Declassified in Part Sanitized Copy Approved for Release 2013/02/20: CIA-RDP80-00926A005600050001-6 113 Bon accord entre theorie et pratique. Il en resulte que ron peut faire ?t de la theorie suivant laquelle l'hydrolyse se produit en des points au hasard le long des chaines. (A.P.) XXVIII ? 5323 VOLLMERT B. -- Ueber die Vollmethylierung von Pektin und Pektin- satire mit Diazomethan und die Verwendung vollveresterter Pektinpra- parate zur Uronsaurebestimmung und zur Molekulargewichtsbestimmung. ? Methylation de la pectine et de l'acide pectinique par le diazomethane et utilisation des preparations totalement esterifiees pour le dosage des acides uroniques et la determination de leur poids moleculaire. - MAKRO- MOLEKULARE CHEMIE, V, Novembre 1950, n" 2, p. 101-109. Etude de l'esterification quantitative de la pectine et de l'acide pegtique par le diazomethane. II ne se praduit aucune &polymerisation si la reac- tion a lieu au-dessous de ?5?C. La methylation des groupes OH- est minime. (0,5 ? 1 % d'ether methoxylique). Les preparations a methyler doivent se preseriter au cours de la reaction sous une forme particulierement active en surface. La presence de quantites importantes de methanol entraine une plus grande viscosite de Pester methylique, cc qui peut s'expliquer par une reaction sur les groupes aldehydiques terminaux. Pour des temperatures superieures a 0?C, il se praduit avec le diazomethane, une decomposition lente, puis plus rapide au fur et a mesure que la temperature s'eleve. L'este- rffication quantitative de la pectine permet une determination precise du poids moleculaire par viscosimetrie, en solution dans Peau et le chlorure de sodium. La rnethode de Zeisel permet de doser avec une grande precision la teneur en acide uronique de pectines completement esterifiees, sans avoir C tenir compte des reactions de decarboxylation. (S.P.) XXVIII ? 5324 HADWIGER 11. ? Zur mathematisch-statistischen Theorie der Ketten- molekiile. -- Sur la theorie mathematico-statistique des molecules en chaine. - MAKRO1VIOLEKULARE CHEMIE, V, Novembre 1950, n? 2, p. 148-160. Le probleme mathematique et statistique de la forme probable d'une molecule en chaine est de nouveau traite id. On a pris pour mode-le, un polygone geometrique, a cotes egaux, qui prend une certaine forme dans respace. On a essaye par unemodification appropriee de mettre en evidence le fait que les differentes parties du polygone s'appuient les unes sur les autres et agissent ainsi sur la forme generale. Le theoreme de probabilite qui en resulte fait apparaitre un nouveau parametre x rendu necessaire par les conditions physiques et qui exprime le degre